Un week-end oĂč jâĂ©tais au dortoir, je mâennuyais beaucoup, jâai appelĂ© Ebru, mais son tĂ©lĂ©phone Ă©tait Ă©teint. Il mâa dit quâil passait le week-end Ă la maison. Alors je suis sorti, je me suis arrĂȘtĂ© Ă la boulangerie et jâai achetĂ© un gĂąteau et je suis allĂ© vers leur maison. JâĂ©tais habillĂ©e comme dâhabitude. Je portais un body Ă col en V sur moi, ça a causĂ© un lĂ©ger dĂ©gagement vers mes seins, mais tant que je ne me penchais pas trop en avant, ça ne faisait pas beaucoup de mal. Et jâĂ©tais allĂ© sous mon jean, qui Ă©tait dans ma main. Jâavais un soutien-gorge et une culotte Ă lâintĂ©rieur. Bref, jâai frappĂ© Ă la porte dâEbru. Mais personne ne lâa ouvert. Jâai encore frappĂ©, finalement la porte sâest ouverte et oncle Cuneyt se tenait devant moi en short. Comme câĂ©tait en juin, il nây avait rien dessus. Jâai posĂ© des questions sur Ebru. âIl est parti faire du shopping avec sa maman, chĂ©rie, je ne sais pas quand il reviendra, entre, attends Ă la maison!âdit-il. Je nâai pas pu rĂ©sister et je suis entrĂ©.
Jâai donnĂ© le gĂąteau que jâavais Ă oncle Cuneyt. âMa chĂ©rie, pourquoi tâes-tu embĂȘtĂ©e?âdit-il. Je suis allĂ© dans la piĂšce oĂč oncle Cuneyt Ă©tait assis et je me suis assis sur le canapĂ© en face de la tĂ©lĂ©. Mon Ćil est attirĂ© par la tĂ©lĂ©. Le programme DVD Ă©tait ouvert, mais il avait Ă©tĂ© mis en pause. Je nâai pas fait de bruit. Oncle Cunayt est Ă©galement venu et sâest assis Ă cĂŽtĂ© de moi. Nous avons commencĂ© Ă parler de la mĂ©tĂ©o. Son Ćil se dĂ©plaçait de temps en temps vers mes seins, mais il sâest rapidement rĂ©tabli. Le sujet a Ă©tĂ© ouvert Ă partir dâun sujet de viol. Nous avons commentĂ© ces nouvelles dans le journal Ă notre maniĂšre. Jâai dit: âĂa doit ĂȘtre une chose trĂšs difficile et laide pour une dame!Jâai dit. Il a dit: âJe le pense aussi, chĂ©rie! Alors, comment lâaimez-vous, ou plutĂŽt lâavez-vous dĂ©jĂ fait?âdit-il. Jâai Ă©tĂ© surpris par cette question inattendue ââ Quâai-je fait?âJâai bĂ©gayĂ©â, quelque chose comme ça.
âAllez, douce fille, ici on se parle, Ă quoi bon ĂȘtre gĂȘnĂ©, ça restera entre nous dĂ©cemment!âdit-il. Je lui ai souri et lui ai racontĂ© comment jâavais perdu ma virginitĂ© en derniĂšre annĂ©e de lycĂ©e. Il mâĂ©coutait sans parler du tout. Quand jâai fini, il a souri et a allumĂ© la tĂ©lĂ©, â Regarde ce quâil y a lĂ !â, en disant, il a relancĂ© le programme quâil avait interrompu. Et il mâa montrĂ© des filles qui se lĂ©chaient les unes les autres. Apparemment, pĂžrnĂž regardait avant mon arrivĂ©e. Je nâai jamais fait de bruit. Il regardait la tĂ©lĂ©. Sa bite commençait Ă se dresser dans son short. Je ne savais pas quoi faire, quoi dire. Dâune part, je voulais quitter cette maison, dâautre part, je voulais rester et voir ce qui allait se passer, vivre.
Oncle Cuneyt se tourna vers moi et commença Ă me fixer. Alors je le regardais et je ne disais rien. âVoudriez-vous?âdit-il. Je nâai plus fait de bruit. Il aura compris mon silence comme un oui, quâil a collĂ© Ă mes lĂšvres dans un bruissement. On sâembrassait. Il Ă©tait comme fou. Il me mordait les lĂšvres. JâĂ©tais aussi attirĂ© par lui. Il a commencĂ© Ă me lĂ©cher le cou. Puis il a enlevĂ© mon body et mon soutien-gorge. Il lâa fait si vite que je nâai mĂȘme pas compris ce que câĂ©tait. Il a commencĂ© Ă me lĂ©cher les seins. Il suçait les extrĂ©mitĂ©s, mordait, et jâaimais vraiment ça. AprĂšs avoir lĂ©chĂ© un peu plus, il a commencĂ© Ă descendre vers mon nombril. Il est descendu, mais jâavais mon pantalon en dessous. Cette fois, il dĂ©boutonna lentement mon pantalon et me dĂ©shabilla doucement. Elle a poussĂ© ma culotte sur le cĂŽtĂ© et a regardĂ© ma chatte, âĂa a lâair si beau et ça sent si bon!âdit-il.
Il a aussi effleurĂ© ma culotte. Dâabord, il a reniflĂ© profondĂ©ment ma chatte, puis il a commencĂ© Ă lĂ©cher. Jâavais lâimpression de devenir fou. Ma chatte Ă©tait dĂ©jĂ arrosĂ©e. Il suçait les eaux. Je gĂ©missais. Jâai poussĂ© un lĂ©ger cri quand il a enfoncĂ© sa langue, mais il lâa immĂ©diatement retirĂ©e. De toute Ă©vidence, il voulait que je sois folle de plaisir. Levez-vous. Sa bite est complĂštement dressĂ©e maintenant. CâĂ©tait visible Ă travers son short. Jâai baissĂ© son short et jâai commencĂ© Ă le lĂ©cher lentement. Il appuyait sur ma tĂȘte. Je me sentais mal Ă lâestomac. Il a compris cela et mâa mis au lit. Il mâa ouvert les jambes autant quâil le pouvait. âEs-tu prĂȘt, petit?âdit-il. âOui! Allez, rentre en moi, je ne supporte pas ça!Jâai dit. Il a ri et a mis sa bite dans ma chatte dâun seul coup. Ce nâĂ©tait pas la premiĂšre fois que je faisais ça, mais ça faisait mal. Jâai criĂ©.
Et il allait et venait sans prĂȘter attention. Jâaimais ça aussi. je gĂ©missais, je hurlais, jâessayais de me couvrir la bouche, jâallais et venais dâun cĂŽtĂ©. CâĂ©tait trĂšs rapide. Jâavais lâimpression de devenir fou. JâĂ©prouvais le plus grand des plaisirs. Au bout dâun moment, il a Ă©jaculĂ© en moi, aprĂšs quoi jâai aussi Ă©jaculĂ© en tremblant. Il a sorti sa bite de ma chatte et sâest allongĂ© Ă cĂŽtĂ© de moi. On a fumĂ© une cigarette. Ensuite, â Allons-nous le faire de dos aussi?âdit-il. Je ne lâai jamais fait par derriĂšre. âJe ne lâai jamais fait Ă partir de lĂ !Jâai dit. âEssayons alors!âil a dit et a mis sa bite dans ma bouche. âLĂšche â le, trempe-le bien!âdit-il. Je lĂ©chais, mais jâavais la nausĂ©e. Je bĂąillonnais DĂ©cemment. Mais ça ne le dĂ©rangeait pas, il appuyait sur ma tĂȘte. Je lâai crachĂ© Ă fond. Puis il a sorti sa bite de ma bouche et mâa fait tournoyer.
âCe sera un peu difficile, Ă toi dapdar!âdit-il. Je nâai rien dit. Il a touchĂ© la tĂȘte de sa bite Ă mon trou du cul. Ăa a commencĂ© Ă entrer en moi, mais ça me faisait tellement mal, je criais. Et puis tout dâun coup il est entrĂ© si vite, jâai cru que mon cul sâeffondrait. Les larmes me montaient aux yeux. âAssez!â Je criais. Et quand il essayait dâaller et venir, il a dit: âDâaccord, bĂ©bĂ©, ça va passer maintenant!âil disait. Mais rien ne passait. Je ne pouvais pas profiter de ma douleur. Il me baisait encore le cul. Je commençais Ă lâaimer un peu aussi, alors jâai senti une chaleur en moi. Il a aussi Ă©jaculĂ© sur mon cul. Je commençais juste Ă en profiter quand il a sorti sa bite de mon cul. âRecommence!Jâai dit. Cette fois, il a commencĂ© Ă mettre ses doigts dans mon cul. En mĂȘme temps quâil me lĂ©chait la chatte, il me vidait comme ça. Ensuite, nous sommes allĂ©s prendre une douche. Il nây avait toujours pas de nouvelles dâEbru. Nous nous sommes assis dans le salon pendant un moment, puis jâai quittĂ© la maison et je suis allĂ© dans mon dortoir.
Oncle Cuneyt et moi sommes toujours les mĂȘmes quâavant. Il me baise parfois. DĂ©c. Parfois, la nuit oĂč je reste chez Ebru, on se touche, se lĂšche, se vide dans la salle de bain ou quelque chose du genre. Et Ebru et sa mĂšre ne savent mĂȘme rien et nâont mĂȘme pas de doutes đ
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