Bonjour chĂšre page dâhistoires de sexe, je mâappelle Ceyda, jâai 23 ans. Depuis de nombreuses annĂ©es, je vis loin de ma famille quand je dis vie professionnelle scolaire, ma famille est Ă mersin, je suis Ă Istanbul. Et jâai une sĆur aĂźnĂ©e qui a 3 ans de plus que moi, elle sâappelle Ăzge. Nous nous ressemblons beaucoup, seulement je suis un peu plus mince quâelle, et mon physique est plus perceptible, jâai des hanches disloquĂ©es, alors que son seul avantage est ses gros seins. Ma sĆur a un petit ami depuis longtemps, il sâappelle Hakan. Je compare son image extĂ©rieure Ă baris slate, un homme extrĂȘmement marginal et charismatique avec des tatouages, bien informĂ©, cultivĂ©. Il vit seul, sa famille est Ă lâĂ©tranger et il est dĂ©jĂ nĂ© et a grandi aux Pays-Bas. Ă 32 ans, câest un grand gars vraiment rĂȘveur. Je suis une personne trĂšs friande de sexe, mon imagination est aussi incroyablement forte, jâai eu beaucoup dâaventures dâun soir, jâai aussi eu plus de beaux hommes que frĂšre hakan, mais jâai eu de trĂšs beaux moments en pensant Ă frĂšre hakan, car il est difficile pour une personne dâĂȘtre tentĂ©e, ou de toute façon, il nây a pas de honte dans le rĂȘve. Chaque fois que jâallais Ă mersin, nous restions toujours chez lui deux jours par semaine, il mâaimait beaucoup, il mâappelait frĂšre. Ils Ă©taient aussi trĂšs bons avec ma sĆur, mais elle sâentendait mieux avec moi en termes de musique, de cinĂ©ma et de culture gĂ©nĂ©rale, jâĂ©tudie la philosophie Ă Istanbul et je suis trĂšs intĂ©ressĂ© par la recherche et lâinvestigation, alors Hakan et moi discutions jusquâau matin. DĂ©c. Ma sĆur est une femme trĂšs jalouse, mais elle ne serait jamais jalouse de moi, elle ne penserait jamais malicieusement Ă elle. Quand ils se retiraient dans leurs chambres, je dormais dans le salon, parfois je continuais Ă boire, parfois je mâexcitais tout seul, me demandant ce quâils faisaient Ă lâintĂ©rieur, et parfois je me masturbais en pensant. Je ne suis pas restĂ© Ă©veillĂ© trĂšs tard en pensant quâil viendrait peut-ĂȘtre me voir, et jâai beaucoup pensĂ© Ă Ă©couter la PORTE de leur chambre, mais je ne pouvais pas prendre ce risque. Dâailleurs, je vis aussi Ă Istanbul avec ma colocataire simge simge, une amie dâĂ©cole, et nous travaillons Ă©galement ensemble Ă temps partiel. DĂ©c. Câest une fille trĂšs gentille, mais elle ne rentre pas beaucoup Ă la maison parce quâelle a un petit ami, elle reste gĂ©nĂ©ralement avec lui, et parfois son petit ami vient nous voir et nous nous amusons Ă boire jusquâau matin. Et les jours oĂč lâicĂŽne ne viendra pas, je rentrerai certainement Ă la maison avec lâun des enfants avec qui je traĂźne lĂ -bas. Nous avons une vie rapide et amusante Ă Istanbul. FrĂšre Hakan vient aussi souvent Ă Istanbul, parce quâil est musicien et parce quâIstanbul est la capitale de la culture, il voyage une fois par mois, Ozge mâinforme, je viendrai le chercher dans ma voiture et nous irons ensemble partout oĂč il ira et sâoccupera de ses affaires. Ensuite, nous dĂźnerons quelque part, raki mutuel, parfois nous prendrons une biĂšre, il a un ami quâil aime beaucoup lĂ -bas, reste gĂ©nĂ©ralement chez lui. Et je ne dirais pas viens rester avec moi pour quâil ne se mĂ©prenne pas, mais au fond de moi jâaimerais quâil reste avec moi comme un fou. Un jour, quand il est revenu Ă Istanbul, ma finale venait de se terminer et jâĂ©tais incroyablement soulagĂ©, il nây avait pas de travail pendant 3 jours, jâĂ©tais libre, je suis immĂ©diatement allĂ© le chercher, il Ă©tait toujours mal Ă lâaise avec cette situation, je vais venir en taxi, ne vous embĂȘtez pas, mais jâai dĂ©couvert lâheure de son avion et je suis allĂ© le rencontrer Ă son atterrissage. Je lâai refait, cette fois il nâa pas pu trouver de billet, il est arrivĂ© un peu en retard, je suis venu le chercher Ă 9 heures du soir et nous sommes allĂ©s manger quelque part, mon frĂšre a demandĂ© si nous boirions du raki, dâaccord, nous boirions, bien sĂ»r, mon frĂšre, jâai dit que tu Ă©tais une honte. Nous nous sommes assis, inquiets, avons parlĂ©, ozge dormait tĂŽt parce quâil travaillait, il appelait toujours vers 12 heures, comment vous amusez-vous, les jeunes, comment allez-vous, aprĂšs une petite conversation, dâaccord, ne buvez pas trop, il a dit que je dormais, il vous a souhaitĂ© de bien vous amuser et a raccrochĂ© le tĂ©lĂ©phone, comme je lâai dit, il nây avait jamais dâarriĂšre-pensĂ©es dans son esprit. FrĂšre Hakan et moi avons terminĂ© notre course, il a payĂ© lâaddition, et quand il sâest levĂ©, voyons voir, son ami a dit, Je ne te le dis pas encore, il a appelĂ©, allez, bla, bla, il a dit, ce qui sâest passĂ© au tĂ©lĂ©phone, frĂšre, y a-t-il un problĂšme, jâai dit, mon ami nâest pas en ville, magnifique, Leurre-moi jusquâau premier hĂŽtel du coin. FrĂšre, jâai dit que tu Ă©tais ridicule, je suis trĂšs offensĂ© en ce moment, jâai dit que tu devrais venir me voir. Ou a-t-il dit non, ça va, tu as deux filles, ton ami sâagite, je nâarrive pas Ă me dĂ©tendre, jâai dit, frĂšre, il nâest pas Ă la maison, il est dĂ©jĂ Ă la maison, mais il est trĂšs compatible, mĂȘme sâil est Ă la maison, je ne veux aucune objection, si jâĂ©tais dans la mĂȘme situation, jâai dit que tu me dĂ©poserais Ă lâhĂŽtel, et je lâai convaincu de force et lâai emmenĂ© chez moi. Jâavais une jolie petite maison de qualitĂ©, jâhabitais Ă cihangir. Jâavais aussi un joli chat Ă©cossais de 3 mois. Nous sommes rentrĂ©s Ă la maison, il a jouĂ© un peu avec le chat, une petite conversation, une conversation, je lui ai offert un jager, jâai sorti un taureau rouge, jâai sorti des biscuits, et nous mettions un bon vernis sur le raton laveur. Je lui ai demandĂ© comment se passait sa relation avec ma sĆur..
â pour ĂȘtre honnĂȘte, ça mâĂ©touffe un peu, tout est trĂšs beau, dans tous les sens du terme, jâai lâimpression dâavoir trouvĂ© ce que je cherche, mais il est trop jaloux et câest trop fatiguant
â oh, allez, je sais que ce nâest pas bien si une personne lâa Ă lâintĂ©rieur, elle le fait de toute façon, il nây a pas besoin de serrer et dâĂ©trangler
-câest vrai, je ne peux lui dire ça non plus, et sans ça, ce serait une relation numĂ©ro dix.
â oh, que ce soit ton seul problĂšme, chĂ©rie, tu tâen remettras avec le temps, ma sĆur a peur de te perdre en ce moment, ton large cercle dâamis vient ici trĂšs souvent, il y a de trĂšs belles filles autour dâelle, au moment oĂč elle se rend compte quâelle lui appartient Ă fond, sa jalousie prend fin
-câest comme ça, mais câest une vaine illusion, oh, qui devrait me regarder aprĂšs ce temps
-non, mon frĂšre, si tu dis ça aussi, mourons, quâest-ce que tu as?
-quâest-ce que jâen sais, ma fille, jâaimais ce punk, ses pieds, maintenant tout le monde cherche un maĂźtre homme en son pouvoir au travail, mon type nâa aucun avantage, on ne peut plus manger son pain (il se mit Ă rire)
-je veux dire, si les filles te regardent, tu es contente dâhier:))) pour plaisanter, jâaime toujours les garçons punk, eh bien, mon sang nâa pas bouilli pour les maĂźtres.
â alors quâest-ce que tu prĂ©pares, quelquâun?
-non, mon frĂšre, tu sais, ça fait quelques mois que ma derniĂšre longue relation sâest terminĂ©e, il y a eu quelques flirts, mais il nây a rien de grave, câest dur Ă Istanbul, quel est mon travail, il y a des filles, mes fesses tombent, les gars ne peuvent pas nous voir en les regardant
â non, bide maintenant, je suis moche, et que ce soit complet
â non, mon frĂšre, la chose nâest pas la beautĂ©, les filles dont je parle sont plus des filles du marchĂ© qui sâouvrent ici et lĂ que de la beautĂ©, elles attirent lâattention des hommes
â fille, tu appuies mille sur eux, bambaska ton aura, sâils te mettaient DĂ©cemment parmi 100 filles du marchĂ©, mon Ćil te choisirait directement
-tu es si mignonne, abeille.
-bien sĂ»r que ça lâest:))
Ensuite, nous avons continuĂ© Ă boire nos verres et Ă discuter, la tĂȘte lĂ©gĂšrement Ă©mĂ©chĂ©e, nous allumions constamment de la musique au tĂ©lĂ©phone, des chansons Ă©trangĂšres, deep purple lâa ouverte, câĂ©tait ma chanson prĂ©fĂ©rĂ©e, et je lâai accompagnĂ©e en hurlant, nous avons commencĂ© Ă chanter ensemble, elle aimait vraiment que je connaisse la chanson
â quel genre de fille es-tu?
â comment Ă©tais-je
-je veux dire, quâest-ce que je sais, tout de suite de ma tĂȘte je ne mâennuie jamais avec toi, nos goĂ»ts, nos goĂ»ts musicaux, tu es comme moi avec tout, et jâaime vraiment ça, je veux passer du temps avec toi tout le temps
-tout comme moi, le temps passĂ© avec toi nâest pas vide, je pense vraiment avoir passĂ© beaucoup de temps de qualitĂ©, câest bien que tu sois venu
Je lâai serrĂ© dans mes bras avec un sourire. Au fait, quand nous sommes rentrĂ©s Ă la maison, nous avons changĂ© de vĂȘtements, il avait un short, un T-shirt, et jâavais un collant gris sous moi, un T-shirt crop top Ă manches courtes, mon ventre Ă©tait exposĂ©. DĂ©c. Notre Ă©treinte a pris un peu de temps, je ne me retirais pas consciemment, je ne voulais pas quâil se retire, soudain jâai remarquĂ© que sa main allait dans mes cheveux, il me caressait doucement le cou, ne cherchant aucune arriĂšre-pensĂ©e, puis sa main a atterri sur mon dos, a continuĂ© Ă caresser, a commencĂ© Ă aimer ça, mais je ne pouvais pas me retirer, jâavais peur de faire le mauvais geste et de le faire se retirer, mes rĂȘves auraient dĂ» se rĂ©aliser ce soir. Sa main est descendue un peu plus, cette fois câĂ©tait sur ma hanche, Ă ce moment-lĂ jâai rĂ©alisĂ© que de trĂšs bonnes choses allaient arriver dans le futur. Pendant que la musique jouait, jâai lentement commencĂ© Ă me retirer, fermant les yeux, mes mains Ă©taient toujours sur mon dos, mais cette fois nous Ă©tions face Ă face, nous nous sommes regardĂ©s pendant un moment
-je sais que câest trĂšs mal, mais je te veux, dit ceyda
Je me suis penchĂ©, jâai collĂ© mes lĂšvres Ă tes lĂšvres, et debout lĂ , jâai dit Ă voix basse
La flĂšche Ă©tait sortie de lâarc, maintenant notre feu nous brĂ»lait, officiellement, notre Ă©nergie sâĂ©tait propagĂ©e dans la piĂšce, je savais que nous allions y faire lâamour non seulement physiquement, mais spirituellement, nous avions le baiser le plus passionnĂ© du monde, nous nous embrassions avec envie, comme deux amoureux nostalgiques qui ne sâĂ©taient pas rencontrĂ©s depuis des annĂ©es, mes mains Ă©taient sur son cou, je lâembrassais, jâenlevais sa chemise en lâembrassant, jâenlevais son beau corps musclĂ© tatouĂ© devant moi, je le touchais longuement, caressant mes grosses cuisses Ă travers ces collants, me faisant frotter contre sa bite, je nâarrĂȘtais pas de lâembrasser, de faire des va-et-vient sur ses genoux. Se levant de ses genoux et incapable de rĂ©sister, jâai commencĂ© Ă caresser sa bite par-dessus son short, jâai enlevĂ© son short et je lui suçais la bite en touchant mes lĂšvres par-dessus le boxer. Puis je suis parti, il me regardait dâune maniĂšre enchantĂ©e, jâĂ©tais entre ses jambes, et je lĂ©chais ses couilles de bite en le regardant dans les yeux, mĂȘme quand il a pris ma langue plus profondĂ©ment et a commencĂ© Ă lĂ©cher son trou du cul, il a commencĂ© Ă trembler, il lâa tellement apprĂ©ciĂ©, je caressais sa bite avec ma main tout en lĂ©chant son trou du cul, il a dit stop, tu vas me dĂ©canter comme ça, et il mâa immĂ©diatement emmenĂ© sous, a enlevĂ© mon t-shirt, a enlevĂ© mon soutien-gorge et a commencĂ© Ă me caresser les seins, Ă me sucer les orteils, je me suis retrouvĂ© avec des collants, en soulevant une jambe dans le trou du cul, il a dit stop, tu vas me dĂ©canter comme ça, et il mâa immĂ©diatement emmenĂ© sous, a enlevĂ© mon t-shirt, a enlevĂ© mon soutien-gorge et a commencĂ© Ă caresser mes seins, Ă sucer mes orteils, je me suis retrouvĂ© avec des collants, en soulevant une jambe dans le trou du cul. de lâair en dessous et suçant les orteils de mes pieds, dâautre part, avec son doigt de basse, il appliquait une pression sur ma chatte par le haut du collant, puis sur la jambe il est entrĂ© dans la recherche, a commencĂ© Ă renifler ma chatte des collants, reniflant, se frottant le nez, disant que lâodeur Ă©tait excellente, il a continuĂ©, puis il a enlevĂ© mes collants et mon string, a embrassĂ© ma chatte, a senti, a senti, lĂ©chĂ© comme un chien, lĂ©chĂ© dĂ©cemment, puis sâest assis et mâa pris sur ses genoux, a mis sa magnifique bite sur ma chatte et lâa appuyĂ©e sur mes Ă©paules et mâest entrĂ© en un seul mouvement,
-tu es génial, mon frÚre, tu es génial
-tu es la merveilleuse ceyda, tu as tellement dĂ©corĂ© mes nuits et maintenant jây suis
â ahh mon frĂšre, jâai beaucoup pensĂ© Ă toi aussi, et maintenant tu es en moi, je sens ta bite en moi, tu es au plus profond de moi, et câest tellement beau
-câest gĂ©nial de te baiser, ma belle, tu es merveilleuse
â câest gĂ©nial que tu mâaies baisĂ©, frĂšre, arrĂȘte de me baiser plus vite avec la racine
-ahhh ceydaaaaa Ă toi
â tu baises ma soeur comme ça aussi?
â oui, mais câest plus amusant de te baiser, tu as un corps magnifique
-de quoi rĂȘvais-tu le plus
-jâai rĂȘvĂ© de baiser ce magnifique cul dodu le plus
â allez, mon frĂšre, baise-moi dans le cul, sois mon premier
â alors comment se fait-il que ce magnifique cul nâait jamais Ă©tĂ© baisĂ© auparavant
-beaucoup de gens le voulaient, mais je nâen avais rien Ă foutre de personne
â offffff ceydaaa sâil te plait sois Ă moi
â compris, mon frĂšre, tu es le premier sikk