Par ma profession, je suis souvent appelĂ© congrĂšs V. s. Je vais Ă Istanbul Ă cause de cela ou Ă cause dâautres affaires. La plupart du temps, je sĂ©journe dans un hĂŽtel, mais parfois jâai un oncle Altan, je reste chez eux dĂ©cembre. Je lâaime beaucoup, lui et sa femme. Altan a 48 ans. Sa femme Zeliha a 38 ans, mesure 1,60, lĂ©gĂšrement dodue dans la chair, trĂšs mignonne, gazouillante, et son visage est une trĂšs belle femme. Ils ont un enfant. Quoi quâil en soit, au cours des derniĂšres annĂ©es, vous avez eu le diabĂšte au fond, suivi de lâimpuissance. Il sâinquiĂ©tait constamment Ă ce sujet, cherchait un remĂšde et me consultait parce que jâĂ©tais mĂ©decin. Alors je les ai rĂ©fĂ©rĂ©s Ă des urologues. Mais câest futile, car comme lâincident est organique, il nây a pas beaucoup de solution. Autant que je sache, il nây a pas eu de clic sous vous depuis au moins 2 ans. Pour ĂȘtre honnĂȘte, quand jâallais et restais chez eux, je nâai jamais pensĂ© Ă la situation de sa femme, je ne pensais pas quâelle serait une victime Ă cet Ă©gard. De plus, ils Ă©taient mes parents trĂšs aimĂ©s. Zeliha mâaime beaucoup, elle dit âErcan abiâ , elle me serrait dans ses bras dâune maniĂšre mignonne tout le temps. Parfois, je passais la matinĂ©e chez eux. Altan, qui Ă©tait engagĂ© dans le commerce, se levait tĂŽt le matin et allait au travail. Nous nous rĂ©veillions donc plus tard avec Zeliha et son enfant, prenions le petit dĂ©jeuner, puis jâallais Ă mon travail ou Ă ma rĂ©union.
Je suis finalement restĂ© avec eux Ă la mi-juin. Un accueil joyeux de la soirĂ©e, dĂźner, conversation, conversation, puis nous nous sommes retirĂ©s dans nos chambres et sommes allĂ©s nous coucher. Pendant ce temps, leurs petits enfants ont dĂ©campĂ© chez leur tante pendant 1 semaine. Le matin, la porte des chambres est ouverte car il fait chaud, je me suis rĂ©veillĂ© avec un sanglot et un vague gĂ©missement. Je ne pouvais plus dormir, je me suis levĂ© et je suis entrĂ© dans le couloir en short et en T-shirt fin. Altan Ă©tait dĂ©jĂ parti travailler. Jâai juste commencĂ© Ă regarder avec lâidĂ©e dâallumer la tĂ©lĂ©, de baisser beaucoup le volume, de regarder et de passer du temps jusquâau petit dĂ©jeuner. AprĂšs 20 minutes, Zeliha est venue au salon, ses cheveux Ă©taient lĂ©gĂšrement en dĂ©sordre, ses yeux Ă©taient gonflĂ©s, mais elle pleurait visiblement, pas de sommeil. Elle est venue en chemise de nuit courte, sâest assise Ă cĂŽtĂ© de moi sur le canapĂ©. Parce que nous nous aimons tellement et que nous ne pensions rien de mal, ou du moins je ne le pensais pas, nous avions lâhabitude de nous asseoir comme ça sans offres. Ă ce moment-lĂ , il nây avait pas la moindre chose qui me passait par la tĂȘte de toute façon, jâaimais ZelihaâŠ
âĂtes-vous contrariĂ© par quelque chose? Tu as pleurĂ©!âJâai demandĂ©. Ses yeux se remplirent Ă nouveau. âFrĂšre Ercan, je tâaime beaucoup, je ne te le cacherai pas, de plus, tu es mĂ©decin, tu es la personne la plus appropriĂ©e Je vais dĂ©verser mon cĆur Ă ce sujet, nous avons un trĂšs gros problĂšme. Vous avez un problĂšme de durcissement au fond, nous ne sommes pas ensemble depuis presque exactement 2 ans. Il est allĂ© chez le mĂ©decin ou quelque chose du genre, il nây avait aucune solution du tout, il a utilisĂ© des pilules stimulantes sexuelles, encore une fois il nây a pas de solution. Les mĂ©decins ont dit que ça ne pouvait ĂȘtre quâavec une prothĂšse pĂ©nienne, et Altan ne correspond pas du tout. Et je ne dis rien pour ne pas lâoffenser. Impuissant âŠâil a dit et a inclinĂ© la tĂȘte ici, son visage a rougi et des larmes ont recommencĂ© Ă sortir de ses yeux avec un sanglot, baissant le ton de sa voix aprĂšs ĂȘtre restĂ© silencieux pendant un moment, âImpuissant, je joue avec moi-mĂȘme, je suis satisfait comme ça. Mais je suis tellement nerveuse maintenant, dĂšs que ça arrive Ă mon enfant, je crie, je casse des choses autour de moi. Il ne me suffit plus de jouer avec moi-mĂȘme!âen disant cela, il a tirĂ© ses jambes vers son torse, sâest ramassĂ© comme une balle, sâest nichĂ© dans ma poitrine comme un chaton, sâest mis Ă pleurer. Il a enterrĂ© sa tĂȘte dĂ©capitĂ©e dans ma poitrine entre mon cou et mon Ă©paule droiteâŠ
Dans ce tableau, jâai Ă©tĂ© soudainement submergĂ© par des sentiments extrĂȘmes de pitiĂ©, de compassion et de protection. Je ne pouvais pas supporter quâelle pleure comme une petite enfant, et je lâai serrĂ©e dans mes bras et jâai commencĂ© Ă lui caresser tendrement les cheveux, tout comme jâaime un enfant, et jâai essayĂ© de la rĂ©conforter en babillant des mots auxquels je ne croyais pas en moi, comme âNe tâinquiĂšte pas, certaines choses sâamĂ©lioreront avec le tempsâŠâ. Ă ce moment-lĂ , il leva lĂ©gĂšrement la tĂȘte et baissa les yeux sur mon visage. DĂ©c. Si innocente, impuissante, honteuse et un mĂ©lange de dĂ©sir, je ne pouvais pas supporter ce regard dans les vieux yeux, jâessuyai les larmes de ses yeux une Ă une avec le pouce de ma main droite. Elle a continuĂ© Ă pleurer en silence. JâĂ©tais tellement pleine de pitiĂ© et de compassion que face Ă ces beaux yeux, je nâai pas pu rĂ©sister Ă toucher doucement mes lĂšvres sur mes deux joues, essuyant Ă nouveau les larmes avec mes lĂšvres et me tenant toujours fermement sans rien en tĂȘte, âĂa va passer, ne tâinquiĂšte pas!â Jâai pu le dire.
Pendant ce temps, il releva lĂ©gĂšrement la tĂȘte Ă nouveau. DĂ©c. Mais câĂ©tait comme si la façon dont il me regardait avait changĂ©. Sa respiration sâest accĂ©lĂ©rĂ©e, sa poitrine a commencĂ© Ă monter et descendre frĂ©quemment. Quand jâai remarquĂ© ça, ça a attirĂ© mon attention, son dĂ©colletĂ© Ă©tait trop, et elle a regardĂ© la fourche de ses gros seins et les gros seins ronds dĂ©bordant du dĂ©colletĂ© dâun autre Ćil, mais je voulais me remettre ensemble tout de suite. Il a dit: âMerci dâavoir essayĂ© de me rĂ©conforter.âil a dit, et mon oreille droite et mon cou enfouis sous mon menton, il a enfoui sa tĂȘte et mâa embrassĂ© dâun long baiser, il est restĂ© comme ça pendant un moment. Puis soudain, il a commencĂ© Ă embrasser mon cou, mon menton et mon visage, souvent et plusieurs fois rapidement. Ses seins descendaient et remontaient plus vite et elle les pressait contre ma poitrine. Jâai remarquĂ© quâils sont trĂšs durs, comme une pierre. Soudain, mes Ă©motions commençaient Ă se mĂ©langer dĂ©cemment entre compassion et dĂ©sir. Les baisers se sont multipliĂ©s et il a commencĂ© Ă toucher mes lĂšvres aussi. Allant encore plus loin, il attrapa ma lĂšvre infĂ©rieure et commença Ă la sucer avidement, se pressant de plus en plus contre moiâŠ
Mon cerveau (Quâest-ce qui se passe?) il disait, mais ma bite avait dĂ©jĂ rĂ©pondu Ă cette question. Zeliha a Ă©galement touchĂ© ma bite par-dessus mon short pour comprendre cela et vĂ©rifier, et de par sa duretĂ©, elle a compris que mon corps, sinon mon cerveau, ne restait pas sans rĂ©ponse. Il mâa doucement roulĂ© sur le dos sur le canapĂ©, il faisait la moue de mes lĂšvres maintenant. Il a mis sa langue dans ma bouche, mâa dâabord lĂ©chĂ© les dents, a dĂ©placĂ© sa langue autour de la base de mes dents, puis il a ouvert mes dents avec ambition et faim, sa langue a rencontrĂ© ma langue et a commencĂ© Ă attraper ma langue et Ă sucer, sucer violemment. Entre â temps, il avait glissĂ© sa main dans mon short, attrapĂ© ma bite, serrĂ© et serrĂ© et avait quittĂ© Dec. Pendant quâelle Ă©crasait ma poitrine avec ses seins sur moi, elle pressait violemment et frottait sa chatte culotte sur ma jambe sous sa chemise de nuit courte dĂ©nudĂ©e, pendant ce temps, elle dĂ©cantait avec le mĂȘme gĂ©missement que jâentendais le matin. Ma jambe Ă©tait trempĂ©e de lâhumiditĂ© qui sortait de sa culotte. Il a effleurĂ© ma chemise avec ambition et rapiditĂ©, alors jâai aidĂ© en bougeant la tĂȘte. Il lâa enlevĂ© et lâa jetĂ©. Il a atterri sur mon cou, de lĂ sur ma poitrine, embrassant, lĂ©chant et suçant. Il est venu vers mes mamelons, suçant avec des sons de succion, mordant et lĂ©chant. JâĂ©tais fou aussi, je pressais ma bite par le bas et elle se frottait la chatte.
âEnlĂšve ta chemise de nuit!Jâai dit. De nouveau avec ambition et en un clin dâĆil, elle enleva sa chemise de nuit et la jeta. Il nây avait pas de soutien-gorge de toute façon. Mon Dieu, quels beaux seins ils Ă©taient, comme si elle nâavait jamais accouchĂ©, gros, durs et levant les yeux vers les extrĂ©mitĂ©s. Mettant un oreiller sous ma tĂȘte, elle a lĂ©gĂšrement redressĂ© mon dos et ma tĂȘte et a mis ses seins contre ma bouche â â Suce-le, sâil te plaĂźt!âdit â il dâune voix rauque gĂ©missante. âEux!âdit-il. JâĂ©tais recroquevillĂ©e, aspirant le bout de son mamelon dans ma bouche, suçant de toutes mes forces, boudant non seulement le mamelon, mais aussi une partie importante de son mamelon jusquâĂ ma gorge. En attendant, je pressais et pĂ©trissais la poitrine avec ma main comme lâautre pierre. DĂ©c. Ensuite, je lâai retirĂ© de ma bouche et jâai aspirĂ© lâautre sein exactement de la mĂȘme maniĂšre cette fois. Leurs gĂ©missements sâĂ©taient transformĂ©s en cris courts, mais trĂšs hystĂ©riques Ă prĂ©sent. âFrĂšre Ercan, mon frĂšre ⊠Veuillez soulager mon dĂ©sir de 2 ans, soulager ma faim, me nourrir, sâil vous plait, sâil vous plait!âil gĂ©missait, et dâun cĂŽtĂ© il continuait Ă verser des larmesâŠ
Il nây avait que des culottes en dessous, mais elle Ă©tait trempĂ©e comme si elle avait fait pipi. Il a recommencĂ© Ă mâembrasser et Ă me lĂ©cher les seins, est descendu plus bas, est venu sur mon ventre, a lĂ©chĂ© et lĂ©chĂ© ses entrailles, puis est descendu avec sa langue, a abaissĂ© un peu mon short et mon caleçon. Il a tout fait lentement, comme sâil voulait satisfaire toute sa faim, mais en en prenant le goĂ»t de chaque once. Il a atteint la racine de ma bite, lĂ©chĂ© lĂ . Puis il a lentement enlevĂ© mon short et mon caleçon ensemble en lĂ©chant chaque partie ouverte de ma bite. Finalement, ma bite a sautĂ© et a commencĂ© Ă montrer le plafond. Zeliha sâest redressĂ©e comme ça, a pris la tĂȘte de ma bite entre les deux mains avec un mĂ©lange de dĂ©sir, dâapprĂ©ciation et de surprise, a regardĂ© dĂ©cemment pendant 4-5 secondes et a dit: âĂa⊠ça⊠câest trĂšs grand et trĂšs beau! Plus grand que celui dâAlt! Surtout, le fond lâest âŠâil a dit. Puis il se pencha et lâembrassa doucement, commença Ă se frotter sur son visage, Ă lâaimer avec adoration. Il lâa frottĂ© sur ses lĂšvres, sur son visage, lâa descendu de lĂ jusquâĂ ses seins, lâa frottĂ© sur eux, a caressĂ© lâun avec le bout de lâautreâŠ
Puis il a soudainement attrapĂ© ma bite et lui a sucĂ© la tĂȘte â â Mmmmm!âil a commencĂ© Ă faire des bruits. Et sa main caressait sa chatte sur sa culotte. Lentement, il sâest dĂ©placĂ© plus loin et a pris toute ma bite dans sa bouche, bougeant sa tĂȘte dâavant en arriĂšre, passant lâaspirateur. JâĂ©tais au dernier point dâendurance maintenant, je lâai doucement poussĂ© par lâĂ©paule et jâai dit ââ Je peux venir Ă tout moment!Jâai dit. Il ne lâa pas retirĂ© de sa bouche et a regardĂ© mon visage comme sâil disait bang. JâĂ©tais comme, â Ooohhh!â Jâai vidĂ© tout mon sperme dans sa bouche avec un cri hargneux. Il ne lâa jamais retirĂ© de sa bouche, il lâa sucĂ© et avalĂ© jusquâĂ mes derniers tremblements. Ă tel point que lorsque ma bite allait et venait dans sa bouche, mĂȘme pas une miette de sperme ne pouvait ĂȘtre vue. Et aprĂšs la fin de mes contractions pour la derniĂšre fois, il a sucĂ© pendant encore 15 Ă 20 secondes et a lĂ©chĂ© ma bite de sa bouche. Mais ma bite Ă©tait encore dure. âJe ne crois pas la lune, câest toujours comme une pierre!âdit-il. Jâai dit: âChĂ©rie, câĂ©tait super, mais tu as plus faim, maintenant laisse-moi lĂ©cher ton dessert!Jâai dit. âOui, oui!âelle a dit, elle a enlevĂ© sa culotte et les a jetĂ©es et a immĂ©diatement mis sa chatte dans ma bouche. Les genoux pliĂ©s en arriĂšre, elle se penchait en arriĂšre, enfonçant sa chatte dans ma bouche, et je boudais cette magnifique chatte charnueâŠ
Hi. Thosaigh an ĂłcĂĄid a mbeidh mĂ© ag cur sĂos air 10 mbliana Ăł shin.…
Hallo.ik bilal, Ik wil je vertellen over een moment dat ik vele jaren geleden heb…
gulaktigt grönt flytningar Min bror förstörde min Jungfru och blev min man Mitt intresse för…