Dans la rue latĂ©rale de ma boutique, au rez-de-chaussĂ©e de lâimmeuble, vivait une jeune fille assez soignĂ©e avec un turban. Le magasin mâappartenait, et je suivais cette fille depuis un bon moment. Parce quâelle avait un corps si beau et vivant que chaque fois quâelle passait devant le magasin, jâimaginais que je la tordais et la baisais en hurlant, et ma bite serait comme une pierre. Quand il est venu dans mon magasin un jour, je me promenais avec enthousiasme, mais jâessayais de ne pas laisser passer. Jâai appris quâelle sâappelait Hilal par les petits du quartier. Il avait achetĂ© un ordinateur et Ă©tait venu mâacheter des films Ă regarder. CD de jeux vidĂ©o et de films dans mon magasin?je vendais leri, mais je rĂ©parais aussi des ordinateurs. CâĂ©tait la premiĂšre fois que je voyais le croissant de lune de si prĂšs. Pendant quâHilal Ă©tudiait les films, je glissais subrepticement Ă travers eux.Hilal nâavait que 19-20 ans. Elle avait une taille dâau moins 1,70 et avait lâair encore plus grande avec ses talons hauts. Son poids Ă©tait Ă©galement tout Ă fait idĂ©al pour sa taille, il Ă©tait une bombe parfaite entre 50-55 kilos. DĂ©c. Ses cheveux Ă©taient auburn et seule une petite partie Ă©tait visible Ă travers son turban. DĂ©c. Ses yeux azur semblaient vraiment grands DĂ©cemment Ă travers leurs longs cils noirs. Ses sourcils Ă©taient soigneusement pris, ils Ă©taient finement dressĂ©s et anguleux. Leurs lĂšvres Ă©taient pleines et trĂšs charnues, elles disaient presque viens mâembrasser, mords mes lĂšvres charnues. Elle avait un maquillage lĂ©ger, elle nâavait pas besoin de beaucoup de maquillage parce que sa peau Ă©tait si belle de toute façon. Elle avait des taches de rousseur trĂšs claires sous les yeux, ce qui lui donnait Ă©galement un air attrayant. Elle avait mis un peu de rouge Ă lĂšvres rose sur ses lĂšvres et un phare bleu sous ses cils, qui correspondait Ă la couleur de ses yeux. Lâodeur de son parfum me donnait le vertige.Ses Ă©paules Ă©taient larges et il avait un corps musclĂ© et maigre comme les athlĂštes qui avaient fait du sport. Ses seins Ă©taient beaucoup plus gros que dâhabitude, ils se tenaient ronds et droits. En cela, lâeffet de sa taille, qui Ă©tait trĂšs fine, maigre, droite et inclinĂ©e, Ă©tait Ă©galement excellent. Leurs jambes Ă©taient longues et galbĂ©es, avec des hanches larges mais disloquĂ©es, elles avaient lâair trĂšs raides et galbĂ©es. Elle Ă©tait vĂȘtue dâune jupe noire plissĂ©e qui couvrait ses longues jambes jusquâaux chevilles, le haut sâaccrochait Ă son cul et montrait la ligne de sa culotte, se retournant vers le bas. Elle portait une chemise Ă rayures blanches qui Ă©tait serrĂ©e et serrait fermement ses seins. Et parce que le soutien-gorge en dentelle noire qui transparaissait avait pressĂ© ces gros seins durs sur les cĂŽtĂ©s, ils poussaient les boutons par devant comme sâils allaient exploser. Le couvre-chef, qui montait sur ses seins et se terminait juste au-dessus dâeux, faisait paraĂźtre ses gros seins encore plus gros. Mon cĆur avait lâimpression quâil allait sauter hors de propos, ma bite avait dĂ©jĂ sautĂ©.Quoi quâil en soit, Hilal a choisi le film quâil allait acheter et lâa payĂ© et est parti. Plus tard, mais pas trĂšs souvent, vous venez de temps en temps dans mon magasin, parfois un film, parfois un CD dĂ©co?si a continuĂ© Ă acheter. Donc Ă chaque fois quâil venait, je lui montrais de nouveaux films et jeux, je faisais des blagues, jâessayais de le faire rire et dâĂȘtre sincĂšre. Jâai rĂ©ussi au moins un peu dans ce domaine. Un jour, il est arrivĂ© maussade et trĂšs dĂ©primĂ© et a achetĂ© un film sur une rupture. Je suppose quâil a rompu avec sa petite amie, rĂ©flĂ©chissant Ă la façon de quitter cette fille, tout en fantasmant de la baiser Ă nouveau dans mille et une positions diffĂ©rentes, ?Je suis tellement dĂ©primĂ©, un voleur est entrĂ© par effraction dans notre maison!? ne le dira-t-il pas. ?Je suis seul Ă la maison, il nây a pas de sommeil pour moi Ă cause de la peur, et maintenant je vais acheter un film et mâasseoir le matin et attendre le voleur!? il a dit et est parti. Est-il 22h00 du soir?ça arrivait Ă toi, je mâapprĂȘtais Ă fermer le magasin, et Hilal avait un CD de film Ă la main?il est venu avec lui et a dit que le film ne fonctionnait pas. Je lâai immĂ©diatement branchĂ© sur lâordinateur du magasin et lâai essayĂ©. Il nây avait pas de problĂšme. CD?il a pris yi et est reparti. Alors pourquoi est-il parti tout de suite, jâaurais aimĂ© quâil reste un peu plus longtemps, pendant que je parlais et que je me reprochais de voir ces gros seins, ces lĂšvres charnues de boulettes de viande dâun peu plus prĂšs, ne sortiront plus!CD?nin a dit quâil ne travaillait plus. Alors je lui ai dit quâil y avait peut-ĂȘtre un problĂšme avec son ordinateur. ?Peux-tu venir jeter un coup dâoeil?? dit. ?JâĂ©tais dĂ©jĂ en train de le fermer, si vous attendez, je viendrai le vĂ©rifier tout de suite!? Jâai dit. Et nous avons rapidement fermĂ© le magasin et avons commencĂ© Ă marcher ensemble jusquâĂ sa maison. JâĂ©tais trĂšs excitĂ©. Je nâaurais plus jamais une opportunitĂ© comme celle-ci. Je me suis dit, OK mon fils⊠ne manquez pas cette opportunitĂ©, allez jusquâau bout, quoi quâil arrive.Jâai dit. Il a dĂ©jĂ dit quâil Ă©tait seul Ă la maison, et maintenant il mâa invitĂ© chez lui, alors il pensait Ă quelque chose, ou mon cĆur Ă©tait trĂšs mĂ©chant, et je me gazais comme ça. Quoi quâil en soit, nous sommes entrĂ©s dans votre maison. Je suis immĂ©diatement allĂ© Ă lâordinateur comme si jâĂ©tais pressĂ©. Lâordinateur Ă©tait installĂ© dans la chambre. Il avait une maison propre et soignĂ©e et un joli lit simple. Juil. Je me suis soupirĂ© Ă quel point ce serait bien de la mettre sur ce lit et de la baiser jusquâau matin. Pendant que je trafiquais lâordinateur,?Tu veux un verre?? il a demandĂ©. Moi aussi,?Si tu as de lâeau froide, je la boirai.? Jâai dit.Quand tu vas chercher mon eau, quây a-t-il sur ton ordinateur en cachette, ou pendant que je fouille pour voir si je peux trouver lâadresse MSN, que dois-je voir? Notre Croissant enturbannĂ© a enregistrĂ© beaucoup de films pornos sur son ordinateur. Un succĂšs parfait!jâai dit, cette fille est trĂšs excitĂ©e, fils, que fais-tu, baise cette fille ce soir, ne la laisse pas tâĂ©chapper! Jâai dit. Quoi quâil en soit, Hilal a apportĂ© mon eau et sâest assis sur la chaise vide Ă cĂŽtĂ© de moi. CâĂ©tait la premiĂšre fois que je pouvais le sentir de si prĂšs. Ma bite Ă©tait comme un pieu. La façon dont elle sâest assise debout sur la chaise, a gonflĂ© ses seins, a rejetĂ© en arriĂšre ses hanches dures et vives mâa rendu fou. Parce que ma chaise Ă©tait courte, ma tĂȘte Ă©tait presque au niveau de ses seins. Quand jâai tournĂ© la tĂȘte, jâai remarquĂ© que lâintĂ©rieur de lui Ă©tait visible Ă travers le DĂ©couplage entre les deux boutons de sa chemise. Lorsquâelle serra ses seins, qui Ă©taient dĂ©jĂ assez gros et durs, sur le cĂŽtĂ© avec un soutien-gorge serrĂ© en dentelle noire, le bout de sa poitrine dĂ©bordait du soutien-gorge, presque comme sâil allait sortir, et mĂȘme ses dĂ©capitations brunes dĂ©passaient presque lĂ©gĂšrement entre les lacets de son soutien-gorge noir.Je me suis donnĂ© Ă mon travail mĂȘme si câĂ©tait difficile, et jâai rĂ©ussi Ă rĂ©parer votre ordinateur. ?Dâaccord, dâaccord, ça marche!? Jâai dit. Il sâest penchĂ© sur lâordinateur, lâa regardĂ© et lâa vĂ©rifiĂ©. Et quand elle sâest penchĂ©e, je regardais simplement avec dĂ©sinvolture ses seins dodus. ?Oui, ça marche!? il la remercia beaucoup et lui demanda combien elle devait. ?Sâil te plait, quâest-ce que je te dois? Tu mâas donnĂ© mon eau! Laisse â moi mâasseoir un moment et regarder les Ă©tincelles aussi brillantes que les Ă©toiles dans ces yeux sarcelle, ça me suffit!? Jâai dit. Le croissant Ă©tait devenu cramoisi,?MerciâŠ? dit-il Ă voix basse. De toute Ă©vidence, il a beaucoup aimĂ©, ce compliment que jâai fait. Ma bouche fait de bons mots dans de telles situations, jâai attrapĂ© lâĂ©lectricitĂ©, je me suis dit, continue. ?Tu es si belle et douce que certaines nuits, quand je regarde les Ă©toiles dans le ciel, je pense Ă tes yeux aussi brillants quâils sont!? Jâai dit. EmbarrassĂ©, ?Ne me dites pas de telles choses, je serais trĂšs impressionnĂ©!? dit. Alors jâai rassemblĂ© tout mon courage et, ?Je rĂȘve de toi depuis le premier jour oĂč je tâai vu!? Jâai dit. Jâai utilisĂ© une telle phrase piĂšge parce que je savais que tu me demanderais de quoi je rĂȘvais. Il est immĂ©diatement arrivĂ© Ă la ligne de pĂȘche, pur Croissant, et a demandĂ©. ?DâĂȘtre prĂšs de toi, de toucher ta peau, dâinhaler ton odeur, de te serrer fort et dâembrasser ces douces lĂšvres au maximum!? je lâai dit rapidement. Jâattendais sa rĂ©action maintenant. Et,?Tu mâas confondu avec dâautres filles!? allait-il claquer et dire, ou, ?Alors?? il allait le dire. ?Alors?? sâil disait que ce travail Ă©tait terminĂ©, cela signifierait quâil me voulait, et maintenant le reste dĂ©pendait de moiâŠEn colĂšre, ?De quoi dâautre rĂȘvez-vous?? dit. Il ne pouvait pas me regarder dans les yeux. ?Dâaccord, je vais vous montrer tout ce dont jâai toujours rĂȘvĂ©!? Jâai dit. Maintenant, le moment que jâattendais Ă©tait arrivĂ©, je pouvais manger comme je voulais, peut-ĂȘtre baiser Hilali. Mais je ne pouvais pas dĂ©cider par oĂč commencer. Si je sautais sur ses seins tout de suite, elle pourrait avoir peur. De tout mon courage, sans regarder du tout son visage, jâai lentement commencĂ© Ă caresser ses mollets par â dessus sa jupe. Il Ă©tait juste assis lĂ et me regardait fixement, sans rĂ©agir du tout. Jâai commencĂ© Ă caresser un peu le haut de ses longues jambes par-dessus sa jupe moulante et jâai lentement glissĂ© vers le bas. Jâai soulevĂ© sa jupe et mis ma main sous elle et lâai attrapĂ©e juste en dessous du genou. Il fut surpris un instant. Puis jâai commencĂ© Ă lui caresser les jambes, dont jâĂ©tais sĂ»r quâelles avaient Ă©tĂ© touchĂ©es pour la premiĂšre fois, ce que jâavais imaginĂ© dans mes rĂȘves. Jâai remarquĂ© que sa respiration sâaccĂ©lĂ©rait. Jâai relevĂ© sa jupe et me suis penchĂ© vers les longues jambes lisses bronze clair comme cette colonne et jâai commencĂ© Ă embrasser ses mollets. Et puis je me suis mis Ă genoux et jâai soulevĂ© sa jupe encore plus haut et lâai poussĂ©e jusquâĂ sa culotte et jâai littĂ©ralement attaquĂ© ses jambes. Jâai sucĂ© si fort que lâintĂ©rieur de ses mollets prĂšs de sa chatte a sautĂ© du Croissant de Lune pendant un moment, elle haletait Ă bout de souffle.Je me suis levĂ© tout de suite, coincĂ© sur ces lĂšvres charnues et charnues et jâai commencĂ© Ă sucer. Dâune part, je mordais doucement sa lĂšvre infĂ©rieure, dâautre part, jâessayais de lâexciter en mettant ma langue dans sa petite bouche et en touchant sa langue. Et jâessayais dây mettre ma main par-dessus sa culotte, caressant et doigtant sa petite chatte glabre. Je suis redescendu. Sa chatte commençait Ă sentir bon et je voulais lui lĂ©cher la chatte comme une folle. Je voulais lui ouvrir les jambes, mais il ne voulait pas me laisser faire. Alors je suis allĂ© directement sur ses jambes, quâil couvrait Ă©troitement, je lâai attrapĂ© par les mollets avec mes mains et je lâai Ă©cartĂ©. Il avait probablement un peu peur, il Ă©tait juste assis sur la chaise. JâĂ©tirais ma langue des cĂŽtĂ©s de sa culotte en dentelle vers sa chatte et je devenais de plus en plus folle Ă mesure que je ne pouvais plus toucher sa chatte. Jâai tellement parlĂ© de sa culotte en dentelle, de sa petite chatte, de ses jambes enfin desserrĂ©es et ouvertes. Alors jâai mis ma tĂȘte dĂ©capitĂ©e entre ses deux jambes. Jâai mis mes mains sur ses hanches par derriĂšre pour quâil nâessaie pas de sâĂ©chapper. Jâai attrapĂ© sa petite culotte en dentelle noire malodorante avec mes dents et les ai tirĂ©es sur le cĂŽtĂ© et jâai lentement commencĂ© Ă passer ma langue sur sa petite chatte glabre. Je bougeais doucement ma langue autour de sa chatte serrĂ©e sans poils, embrassant parfois son clitoris, prenant parfois les lĂšvres de sa chatte dans ma bouche et suçant.TrĂšs bientĂŽt un profond,?Ohhh!? il a tirĂ©. Avait-il trouvĂ© son humeur Ă fond, ?Ăa suffit!? dit. Mais bien sĂ»r, je nâĂ©tais pas de lĂ , jâai levĂ© ses jambes de mon Ă©paule, jâai bien Ă©cartĂ© sa culotte et jâai commencĂ© Ă lĂ©cher sa petite chatte glabre au miel avec plus dâappĂ©tit. Il ne pouvait pas se tenir debout sur la chaise, il a presque Ă©jaculĂ©. Je me suis immĂ©diatement levĂ©, il me regardait dans les yeux avec dĂ©sir et semblait presque sâĂ©vanouir. Jâai sorti ma bite Ă©paissie et lâai donnĂ©e Ă sa main. Puis je lâai pris vers sa bouche. Il a regardĂ© mon visage, mais jâavais dĂ©jĂ mis ma bite dans sa bouche.