bonjour, câest ma 2Ăšme histoire que je vais partager avec vous. De retour Ă Istanbul, jâai beaucoup pensĂ© Ă cet Ă©vĂ©nement. Mon esprit Ă©tait coincĂ© dans cette chambre dâhĂŽtel. Je voulais revivre les mĂȘmes choses. Câest pourquoi jâai commencĂ© Ă traĂźner sur des sites de discussion et de rencontres tout le temps. Mais je nâai pu trouver personne jusquâĂ prĂ©sent. Ensuite, jâai traĂźnĂ© sur des sites de visionnage de porno et rien nâest sorti lĂ -bas. Ma femme Ă©tait partie dans sa famille, dans sa ville natale. Jâai donc commencĂ© Ă passer mon temps Ă regarder du porno sur Internet Ă la maison et au travail. Je mangeais mes repas au restaurant parce que jâĂ©tais seul. Parfois, un voisin que nous logions dans le mĂȘme appartement nous envoyait les repas quâil cuisinait. Je mangeais et rĂ©cupĂ©rais la vaisselle sur le comptoir de la cuisine. Quand la dame venait, elle le lavait de toute façon. Et je ne voulais pas mâoccuper de la vaisselle. Mon voisin a demandĂ© des assiettes vides lorsquâil apportait de la nourriture. Jâai dit que je le laverais et que je le donnerais de cette façon. Il sâest moquĂ© de moi pour ne pas lâavoir lavĂ© jusquâĂ maintenant et est parti. Il lâa Ă©galement dit Ă sa femme. Ils avaient 5-6 ans de plus que moi. Sa femme Ă©tait une personne voilĂ©e. Il Ă©tait midi le lendemain. La cloche sonna. JâĂ©tais au lit parce que jâĂ©tais accro au net jusquâau matin. Dans ma somnolence, jâai ouvert la porte sans mĂȘme rien avoir sur moi. Et que devrais-je voir, la dame de mon voisin. Comme toujours, hilarant. Je suis dans une position inadaptĂ©e en termes de vĂȘtements. Quand sĆur dit quelque chose, hick, mik. Il a ri et est entrĂ© Ă lâintĂ©rieur. Il est allĂ© directement Ă la cuisine. Il a vu la vaisselle. Elle sâest un peu fĂąchĂ©e contre moi, elle. Les gens ont dit des choses comme si ce ne serait pas une telle nĂ©gligence et ils tiennent dans leurs bras pour se laver. Jâai commencĂ© Ă le regarder la bouche grande ouverte. Je nâai mĂȘme jamais vu son visage correctement auparavant. Maintenant, elle avait enlevĂ© son hijab et avait les bras en forme, lavant la vaisselle dans ma cuisine. Jâai commencĂ© Ă le regarder avec lâĆil de lâacheteur. Parce quâil y avait quelque chose dâĂ©trange dans ce travail. Ce nâĂ©tait pas normal quâil vienne comme ça quand jâĂ©tais seul Ă la maison. Je nâĂ©tais pas assez naĂŻf pour comprendre ça. Quand je lâai examinĂ©, je me suis Ă©vanoui. Elle avait des hanches saillantes. Sa robe pendait dans le dos Ă cause de ses hanches. Ses chevilles Ă©taient visibles. Sa peau Ă©tait blanche. Je voulais embrasser ces endroits. Jâaurais dĂ» faire quelque chose, mais quoi? Je suis passĂ© derriĂšre lui sous prĂ©texte de boire de lâeau. Ma bite, dĂ©jĂ sous la tente en pyjama, lui tapota lĂ©gĂšrement les fesses en passant. Ăa nâa pas fait de bruit. Jâai dĂ» faire la deuxiĂšme attaque. Jây suis retournĂ© de la mĂȘme maniĂšre. Cette fois, jâai appuyĂ© plus fort. Encore une fois pas de son. Jâai dit oui, ma sĆur. Depuis que tu es venu aider. Pouvez-vous mâaider Ă emballer le contenu aussi? Bien sĂ»r. Dit. Quand elle eut fini la vaisselle, elle entra Ă lâintĂ©rieur et commença Ă ranger. Et moi, sous prĂ©texte de lâaider, Parfois jâai commencĂ© Ă toucher tes mains, parfois ton corps. Les rires ont commencĂ©. Il nây avait aucun moyen que je puisse me tenir debout. Jâai Ă©tĂ© soudainement Ă©treint. Nous sommes tombĂ©s au sol dans cette tourmente. Il souriait encore. Jâai enlevĂ© ton Ă©charpe. Ses cheveux noirs Ă©taient abĂźmĂ©s. Jâai vraiment aimĂ© ça. Il a Ă©galement gĂąchĂ© un peu plus ses cheveux avec sa main. CâĂ©tait assez pour me rendre fou. Je suis immĂ©diatement tombĂ© sur ses lĂšvres. Il a Ă©galement rĂ©pondu. Câest donc le but principal de venir. Je lâai lentement dĂ©shabillĂ© et jâai commencĂ© Ă lâembrasser. Jâembrassais chaque ouverture. La chambre soupirait. Ses seins Ă©taient de taille moyenne. Leurs pointes Ă©taient noires. Pendant que jâembrassais, ils devenaient de la taille dâolives dans ma bouche. AprĂšs mâĂȘtre complĂštement dĂ©shabillĂ©, jâai regardĂ© pendant un moment et jâai recommencĂ© Ă mâembrasser. Mon but Ă©tait de lĂ©cher et dâembrasser ta chatte. Mais elle mâa dit dâĂȘtre rapide, a-t-elle dit. Mon mari rentrera bientĂŽt du travail. âElle doit me trouver Ă la maisonâ, a-t-elle dit. Il Ă©tait dĂ©jĂ assez mouillĂ©. Et je voulais quâil se recroqueville devant moi. Il se balança, agrippant le canapĂ©. Jâai enfoncĂ© ma bite comme une pile dans sa chatte. Il a pris un profond ooooooooooooohhhhhhhh. Puis, tenant ses hanches, jâai commencĂ© Ă marcher dâavant en arriĂšre. Ses seins vacillaient alors quâelle giflait ses fesses. AprĂšs avoir continuĂ© comme ça pendant un moment, quand je suis entrĂ© confortablement, il a commencĂ© Ă se contracter. Ăa sâest resserrĂ© comme un gant. Elle a commencĂ© Ă crier. Lâendroit oĂč se trouvaient nos organes gĂ©nitaux a commencĂ© Ă se mouiller. En Ă©jaculant, il exsudait du liquide comme les hommes. Je ne pouvais pas le supporter trop longtemps et jâai commencĂ© Ă gicler mon sperme Ă lâintĂ©rieur. Comme si ça allait me dĂ©barrasser de moi. Comment il a commencĂ© Ă gĂ©mir. JâĂ©tais Ă©tonnĂ©. CâĂ©tait la premiĂšre fois que je voyais un orgasme fĂ©minin comme celui-ci. Jâai arrĂȘtĂ©. Jâai attendu quâil se calme. Je ne pouvais pas sortir ma bite. CâĂ©tait aussi serrĂ©. Alors quâelle se calmait, sa chatte a commencĂ© Ă se desserrer et elle a lĂąchĂ© ma bite. Je suis sorti lentement. Nous Ă©tions tous les deux satisfaits. Ta femme tâa confiĂ© Ă moi. Il a dit que câĂ©tait Ă moi de rĂ©pondre Ă ses besoins et a commencĂ© Ă sâhabiller. âLa prochaine fois que vous en aurez besoin, lavez les assiettes et envoyez-lesâ, a-t-il dit. Jâai dit ok aussi. Mais jâai dit que je ne pouvais pas en avoir assez de toi, jâai dit reviens demain. Il a ri, vous appelant excitĂ©e. Il a dit quâil viendrait. Elle a dit que tu Ă©tais la seule personne avec qui jâai Ă©tĂ© Ă part mon mari. Apparemment, il se souciait de moi. Je nâai pas non plus sous-estimĂ© lâimportance quâil me donnait. Jâai continuĂ© Ă lui plaire presque tous les jours jusquâĂ lâarrivĂ©e de ma femme. Elle nâen a jamais assez de ce mari portant le hijab, baise-la du jeudi au jeudi âTu es la seule personne avec qui jâai Ă©tĂ© Ă part mon mariâ, a-t-elle dit. Apparemment, il se souciait de moi. Je nâai pas non plus sous-estimĂ© lâimportance quâil me donnait. Jâai continuĂ© Ă lui plaire presque tous les jours jusquâĂ lâarrivĂ©e de ma femme. Elle nâen a jamais assez de ce mari portant le hijab, baise-la du jeudi au jeudi âTu es la seule personne avec qui jâai Ă©tĂ© Ă part mon mariâ, a-t-elle dit. Apparemment, il se souciait de moi. Je nâai pas non plus sous-estimĂ© lâimportance quâil me donnait. Jâai continuĂ© Ă lui plaire presque tous les jours jusquâĂ lâarrivĂ©e de ma femme. Elle nâen a jamais assez de ce mari en hijab, baise-la du jeudi au jeudi