Je venais dâavoir 16 ans. En ces vacances oĂč nous sommes allĂ©s chez mes oncles Ă Izmir, il Ă©tait dĂ©cemment nĂ© que quelque chose se passerait entre moi et ma tante. Depuis que je suis petite, jâavais lâhabitude de serrer dans mes bras et dâembrasser ma belle-sĆur et elle nâattirait pas lâattention parce que jâĂ©tais petite. Au fait, ma belle-sĆur est une dĂ©cadente de 34 ans, mince, de petite taille, trĂšs gaie, ouverte dehors Ă la maison, fermĂ©e, faisant de la coiffure pour dames. Et ce jour-lĂ , aprĂšs que ma belle-sĆur soit sortie de la salle de bain, je suis allĂ©e aux toilettes. Les sous-vĂȘtements que ma belle-sĆur a enlevĂ©s se tenaient dans la saletĂ©. Jâai pris la culotte de ma belle-sĆur par le bas et je lâai immĂ©diatement portĂ©e Ă mon nez. Ăa sentait si bon quâil y avait des blanchissements sur la partie web de la chatte. Quand jâai fermĂ© les yeux et inhalĂ© son odeur, ma bite est devenue comme une pierre. Juste Ă ce moment-lĂ , jâai vu ma belle-sĆur me regarder Ă travers la fenĂȘtre de dĂ©cembre depuis le miroir devant la porte, mais je ne pouvais pas bouger. Quand jâai regardĂ© ma tante du coin de lâĆil, jâai remarquĂ© que ses yeux se dirigeaient vers ma bite. Quand jâai pris la culotte de ma belle-sĆur sur mon nez, ma belle-sĆur est partie tranquillement.
JâĂ©tais rempli dâune grande excitation et dâun dĂ©sir de baiser ma belle-sĆur. Jâai immĂ©diatement quittĂ© la salle de bain. Ma tante Ă©tait allĂ©e Ă la cuisine. Jâai adoptĂ© une attitude joyeuse, jâai mis ma main dans ma poche pour empĂȘcher quiconque de voir que ma bite Ă©tait levĂ©e et je suis allĂ© Ă la cuisine pour jouer au revoir. Ma tante coupait des tomates au comptoir. âMa chĂšre belle-sĆur!âen babillant, je lâai serrĂ©e dans mes bras par derriĂšre et je lâai embrassĂ©e sur la joue sans mĂȘme donner Ă ma belle-sĆur lâoccasion de se retourner. Au fait, je tenais de toutes mes forces ma bite parĂ©e de pierre contre le cul de ma belle-sĆur. Ce fut un moment incroyablement excitant pour moi. Ma tante a dit: âArrĂȘte, len, je cuisine!âil dit quelque chose comme ça, mais il ne sortait pas son cul devant ma bite non plus. Il faisait si chaud que le cul de ma belle-sĆur, alors pour une raison quelconque, je pensais que ma belle-sĆur Ă©tait excitĂ©e quand elle me regardait.
Parce que je serrais son cou avec mes bras, ma belle-sĆur poussait ses fesses contre moi comme si elle essayait de sâenfuir. Quand mon oncle est arrivĂ© Ă la cuisine, il mâa vu comme ça et mâa dit: âNâaccable pas ta tante pendant que mon fils fait des affaires, il a un couteau Ă la main, il va faire une sieste maintenant!âdit-il en riant. Ma belle-sĆur mâa ouvert les mains et a survĂ©cu, mais comme elle ne voulait pas que mon oncle voie ma bite, elle faisait parfois des terrasses. Rien dâautre ne sâest passĂ© entre ma tante et moi pendant ces vacances, mais jâai mĂȘme Ă©tĂ© blessĂ© de penser Ă ces moments jour et nuit et de tourner le 31 dĂ©cembre.
Cela faisait 2 mois en dĂ©cembre. Ma grand-mĂšre restait chez nous parce quâelle Ă©tait malade. Au stade du dĂ©mĂ©nagement dans une plus grande maison, mes oncles sont Ă©galement venus. Jâai dĂ©jĂ fait au moins 100 plans Ă partir du moment oĂč jâai entendu quâils arrivaient. Je nâavais jamais baisĂ© personne avant dâavoir cet Ăąge, mais jâavais regardĂ© beaucoup de films pornos. Je perdais le sommeil Ă cause de lâexcitation. Bref, mon oncle et ma tante sont arrivĂ©s. aprĂšs 2-3 jours dâagitation, nous nous sommes installĂ©s dans une nouvelle maison. Parce que ma grand-mĂšre Ă©tait clouĂ©e au lit, quelquâun devait rester avec elle tout le temps. LâopportunitĂ© que jâattendais est nĂ©e ce jour-lĂ , mon oncle allait retrouver ses amis, mon cousin Ă©tait allĂ© chez mon autre cousin et mon frĂšre Ă©tait hors du comtĂ©. Ma mĂšre a dit Ă ma tante: âOn va aller chez mes parents, tu es Ă la maison de toute façon.âdit-il. Ma belle-sĆur a dit â â Dâaccord, vas-y, je vais prendre un bain confortable!âdit-il. Ils Ă©taient tous les deux seuls dans la chambre, je lâai entendu du balcon. Jâai immĂ©diatement arrĂȘtĂ© tous les plans que jâavais faits et jâai commencĂ© Ă Ă©valuer la nouvelle situationâŠ
Pendant que maman se prĂ©parait, je me suis immĂ©diatement habillĂ©e et jâai dit: âJe vais sur le tapis pour le match!âJâai quittĂ© la maison en disant. Jâai commencĂ© Ă espionner la maison Ă distance, mais je mâagitais Ă lâintĂ©rieur. Quand mes parents sont partis et ont disparu hors de vue, je suis immĂ©diatement rentrĂ© chez moi, jâai frappĂ© Ă la porte. La porte sâouvrit un peu tard. Ma belle-sĆur mâa dit: âNon, pourquoi es-tu venue?âil a demandĂ©. Jâai dit: âJe vais me coucher, le match est annulĂ©!âDis â je, et je suis allĂ© directement dans ma chambre, allongĂ© sur le dos sur le lit avant dâavoir complĂštement fermĂ© la porte. Ma belle-sĆur dit avec colĂšre de lâextĂ©rieur ââ Je ne pourrai pas prendre un bain confortablement!âil disait:â quelque chose comme ça.
Au fait, jâai bien soulevĂ© ma bite en pensant que jâallais baiser ma tante, pour que ça ait lâair mieux, jâai enlevĂ© ma culotte, enfilĂ© mes pantalons de survĂȘtement fins et jâai commencĂ© Ă mâendormir. Ma belle-sĆur sâest arrĂȘtĂ©e soudainement au moment oĂč elle passait devant ma porte et lâa regardĂ©e pendant au moins 2 minutes. Puis il a regardĂ© ma grand-mĂšre et est revenu, a ouvert la porte lentement, est venu vers moi doucement, âEnis, dors-tu?âil mâa appelĂ© 1-2 fois. Je nâai pas fait de bruit, je voulais que ma belle-sĆur pense que je dormaisâŠ
Alors câest arrivĂ©, ma belle-sĆur a pris une couverture Ă partir de lĂ et mâa doucement recouverte. Mais en attendant, il a frottĂ© ma bite retournĂ©e avec son bras plusieurs fois. DĂ©c. Je pouvais sentir trĂšs clairement la fiĂšvre de ma belle-sĆur. Ma tante a quittĂ© la piĂšce comme Ă contrecĆur et a de nouveau quittĂ© la porte en dĂ©cembre. Puis Ă ma grand-mĂšre ââ Maman, je vais prendre un bain, je sors de la porte de la salle de bain DĂ©cembre, sâil arrive quelque chose, appelle-moi, je viens tout de suite, Enis dort!âdit-il. Grand-mĂšre a dit: âDâaccord, ma fille, je mâassoupis dĂ©jĂ , sâil arrive quelque chose, jâappellerai!âdit-il. Je regardais vers la salle de bain, qui Ă©tait sur la croix du bout des yeux. Je me suis levĂ© doucement de mon lit 5 minutes aprĂšs que ma belle-sĆur soit entrĂ©e dans la salle de bain. Jâavais pris ma dĂ©cision, jâallais plonger dans la salle de bain comme si câĂ©tait une erreur. Je pensais que si ma belle-sĆur criait, je ferais semblant de me rĂ©veiller du sommeil. Jâai rendu mon visage somnolent et je suis arrivĂ© Ă la porte de la salle de bain comme si jâallais faire pipi, mais jâai failli mourir dâexcitationâŠ
Jâai baissĂ© le devant de mon survĂȘtement, jâai pris ma bite Ă moitiĂ© abaissĂ©e dans ma main et je suis allĂ© dans la salle de bain. Ma belle-sĆur Ă©tait nue. Je suis immĂ©diatement arrivĂ© devant la cuvette des toilettes sans regarder directement du cĂŽtĂ© oĂč se trouvait la baignoire et jâai essayĂ© de faire pipi, mais pas une goutte nâest sortie đ Pendant ce temps, ma tante a fait ses valises et a tenu la serviette devant elle et a dit: âQuâest-ce que tu es DĂ©cadent!âdit-il. Je me suis aussi tournĂ© vers ma belle-sĆur comme surpris de somnolence, ma bite Ă la main, et en mettant ma bite dedans, jâai dit â â DĂ©solĂ©, belle-sĆur, je ne savais pas que tu Ă©tais lĂ !Jâai dit.
Mais en attendant, jâessayais de regarder tout ce qui restait Ă lâextĂ©rieur de la serviette de ma tante. DĂ©c. Quand ma belle-sĆur nâa pas criĂ©, mon plaisir a recommencĂ© Ă gonfler, ma bite est devenue comme un poteau de tente quand je regardais les jambes et les Ă©paules de ma femme. Ma belle-sĆur a Ă©galement fixĂ© ses yeux sur ma bite. Ses joues Ă©taient devenues al al. Il mâa dit, mettant son doigt sur sa lĂšvre â â Chut!âil a fait le signe et est venu vers moi en sortant de la baignoire. Il a attrapĂ© ma bite par-dessus mon pantalon de survĂȘtement, mâa regardĂ© dans les yeux avec un sourire et a dit: âQuâest-ce que câest que ce len?âdit-il. Ma tante mâa fait sentir son souffle sur mon visage et mâa dit: âEspĂšce de prĂ©tendant! Alors tu vas me baiser, nâest-ce pas?âdit-il. Je me tenais debout comme si jâĂ©tais retenu et je ne pouvais pas rĂ©pondre, et ma belle-sĆur nâarrĂȘtait pas de saisir ma bite et mes couilles fermement Ă travers mon pantalon de survĂȘtementâŠ
Mon Dieu, quel moment incroyable câĂ©tait, ma belle-sĆur, que jâavais abattue 31 100 fois, me caressait la bite. Alors que je me tenais immobile en retenant mon souffle, ma belle-sĆur a soudainement mis sa main dans mon pantalon de survĂȘtement et a commencĂ© Ă caresser ma bite nue cette fois. Au fait, il a dit â â Alors tu vas baiser la femme de ton oncle, nâest-ce pas? DĂ©c?âil disait. Alors je nâai pas pu rĂ©sister et jâai serrĂ© ma tante dans mes bras et lui ai dit: âOh, tante, si tu savais Ă quel point je tâaime!â Jâai pu le dire. Ma belle-sĆur a Ă©galement ri â â Je sais, hınzır, je nâai pas oubliĂ© le moment oĂč tu mâas mis sur le dos Ă Izmir!âdit-il. Puis, quand il a quittĂ© la serviette quâil tenait avec son autre main, il se tenait nu devant moi et caressait ma bite. Il mâa dit: âDĂ©shabille-toi!âdit-il. Jâai immĂ©diatement enlevĂ© mes vĂȘtements. âAvez â vous dĂ©jĂ baisĂ© quelquâun avant?âdit-il. ânon!Jâai dit. âBien, alors tu vas commencer par baiser la femme de ton oncle dâabord, hein!âil a dit et a commencĂ© Ă mâembrasser. Alors jâai commencĂ© Ă serrer la chatte, le cul, les seins de ma belle-sĆur comme une folle, Ă la caresser, Ă lâembrasser, Ă lui lĂ©cher le cou, la gorge et les seinsâŠ
Ma bite Ă©tait sur le point dâexploser maintenant. Ma tante sâen sera rendu compte en disant: âVa dans la baignoire!âdit-il. Je suis entrĂ© dans la baignoire. Quand ma tante a ouvert la passoire de la douche et a tenu de lâeau froide sur ma bite, jâai soudainement sursautĂ©: âQuâest-ce que tu fais, tante?Jâai dit. Ma belle-sĆur a dit â â Tu Ă©tais sur le point de jouir, je le fais pour quâil soit un peu tard!âdit-il. Lorsque ma bite a rĂ©trĂ©ci et rĂ©trĂ©ci sous lâeau froide, il mâa de nouveau sorti de la baignoire et sâest mis Ă genoux devant moi, me serrant Ă nouveau dans ses bras et embrassant mon cou et ma poitrine. âRegarde, maintenant tu vas baiser la bouche de ta belle-sĆur!âil a dit et a commencĂ© Ă passer sa langue autour de ma bite, me regardant dans les yeux.
JâĂ©tais comme devenu fou, ces lĂšvres sexy de ma belle-sĆur, que jâavais Ă peine imaginĂ© embrasser, Ă©taient maintenant en train de lĂ©cher et dâembrasser ma bite. Et puis soudain, quand il a pris ma bite gĂ©missante dans sa bouche jusquâĂ mes couilles, jâaurais pu mourir de plaisir et dâexcitation. Ma belle-sĆur me suçait la bite si fort que lorsquâelle a commencĂ© Ă bouger la tĂȘte dâavant en arriĂšre, la flamme de sa bouche me brĂ»lait. Je mâĂ©vanouissais littĂ©ralement. Ma bite nâĂ©tait pas encore complĂštement durcie, mais jâĂ©tais sur le point de le faire. Je ne mâattendais pas Ă jouir si vite. Jâai tenu la tĂȘte de ma belle-sĆur avec mes mains pour quâelle ne parte pas au milieu, jâai commencĂ© Ă appuyer sur ma bite et jâai dit: âJâarrive!â Jâai pu le dire.
Quand jâai explosĂ©, ma belle-sĆur ne pouvait que retirer ma bite de sa bouche. Une partie de mon sperme giclait dans sa bouche et le reste dans son visage, ses cheveux et ses seins. Mais ma belle-sĆur me caressait la bite comme une fille de 31 ans sans me poser de problĂšmes, essayant de sortir tout ce quâil y avait dedans. Et mes genoux tremblaient, je suis juste restĂ©. Ma belle-sĆur sâest levĂ©e en me souriant: âDâaccord? Tu es soulagĂ©e?âdit-il. JâĂ©tais comme ,â Oh tante, quâest-ce que câĂ©tait que ça, jâai officiellement fini!Jâai dit. Le fait que ma belle-sĆur ait du sperme partout mâa redonnĂ© faim, et ma bite avait commencĂ© Ă revivre. Quand jâai mis ma main sur la chatte de ma belle-sĆur, elle Ă©tait trempĂ©e et brĂ»lante. âBelle-soeur, laisse-moi baiser avec ça aussi, sâil te plaĂźt!Jâai dit.
Ma belle-sĆur a dit â â Mets tes vĂȘtements, viens jeter un coup dâĆil Ă ta grand-mĂšre tranquillement, et je vais me faire nettoyer!âdit-il. Je me suis habillĂ© immĂ©diatement et je suis parti, jâai regardĂ© tranquillement ma grand-mĂšre, elle dormait profondĂ©ment. Quand je suis retournĂ© Ă la salle de bain, ma belle-sĆur se lavait sous la douche. Il mâa dit: âAttends un peu!âdit-il. âDâaccord!âJâai dit:â Je me suis dĂ©shabillĂ©. En regardant les eaux couler du corps de ma belle-sĆur crĂ©Ă© pour cette baise, ma bite est devenue comme un pieu quand jâai regardĂ© la chatte que jâĂ©tais sur le point de baiser et jâai soupirĂ©. Ma belle-sĆur est sortie de la baignoire et a immĂ©diatement pris la serviette et sâest sĂ©chĂ©e. Puis il se tourna vers la porte et Ă©couta dehors. Alors jâai serrĂ© ma belle-sĆur dans mes bras par derriĂšre, alors que sa peau Ă©tait sur ma peau, je lui caressais la chatte dâune main devant elleâŠ
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Salut les amis, je suis Tonguç d'Ankara. Il y a deux ans, Ă la suite…