Câest ce quâun mec gay qui sâest fait baiser dans le bain a Ă©crit un tel jour. Il mâa dit quâil avait rencontrĂ© quelquâun dans les bains publics et baisĂ© longtemps dans la cabine. Jâai pensĂ© un instant, pourquoi ne devrais-je pas au moins aller aux bains publics pour voir une bite vivante. CâĂ©tait sur ma tĂȘte. Le lendemain, jâĂ©tais dans le bain vers 17h00. Mon cĆur se serrait dâexcitation. Je suis entrĂ©, hĂ©sitant Ă entrer ou non. Comme dans lâhistoire, je me suis dĂ©shabillĂ©e et je suis entrĂ©e dans la piscine en contrebas. Il y avait quelques personnes ĂągĂ©es et deux jeunes. Je me suis assis Ă la tĂȘte de la voiture, je transpirais. Pour une raison quelconque, ces deux jeunes gens ne mâavaient jamais intĂ©ressĂ©. Je regardais des mecs matures. Certains se lavaient, dâautres transpiraient au bord de la piscine. Puis, quand quelquâun a levĂ© sa jambe en se levant du bord de la piscine, dick est apparu sous le pagne qui sâest ouvert. Eh bien, je serais mort pour courir, toucher et caresser sa bite, mais je pouvais Ă peine me retenir. Bien, le gars lâaurait touchĂ©, bien sĂ»r, je ne le savais pas non plus. Bien que dâaprĂšs ce que jâai entendu, la plupart des gens qui viennent aux bains publics sont homosexuels.
Bref, le gars sâest levĂ© et est parti. Il y avait des douches Ă lâĂ©tage, je pense quâil y est allĂ© ou aux TOILETTES et jâai presque regardĂ©, mais je ne voyais rien. Je transpirais beaucoup, je suis montĂ© aux douches. Par hasard, le gars est sorti des TOILETTES, il allait dans les douches. Les douches nâont pas de portes, elles ont fait le pagne sur votre taille comme une porte. Jâai revu ta bite quand le mec a enlevĂ© le pagne et a fait une porte. Mon instinct allait, je voyais littĂ©ralement une bite vivante pour la premiĂšre fois. Je me suis assis juste en face de lui par terre, le pagne ne fermait pas tout Ă fait la porte, il Ă©tait ouvert Ă un peu plus dâun demi-mĂštre du fond, je pouvais voir un peu au-dessus des genoux de lâhomme. Le gars prenait une douche. Quand tu tâes assis par terre aprĂšs avoir pris une douche, offfff quâest-ce que câĂ©tait, je pouvais le voir beaucoup plus clairement maintenant, jâĂ©tais sur le point de mourir dâexcitation. Peu de temps aprĂšs, quand le mec a commencĂ© Ă jouer avec sa bite, je suis devenu complĂštement fou. Mais il sâest avĂ©rĂ© que lâhomme sâest rendu compte quâil avait soudainement ouvert le pagne quâil utilisait comme rideau et nous avons vu les yeux dans les yeux. Quand il mâa secouĂ© la bite, jâĂ©tais gĂȘnĂ© et effrayĂ©, et je me suis immĂ©diatement levĂ© et je suis parti, je me suis habillĂ© et jâai couru hors des bains publics. Mais jâai eu mille regrets en chemin, pourquoi tâes-tu enfui, idiot, pour voir si ce nâĂ©tait pas la bite que tu voulais voir.
AprĂšs ce jour, jâai commencĂ© Ă aller aux bains publics tous les 2 ou 3 jours par semaine. Jâai vu beaucoup de bites. Surtout quand je voyais quelquâun qui Ă©tait comme mon bras, mon esprit sâen allait. Ăa ne me coupe plus de le regarder de loin, je voulais prendre ces belles bites dans ma main, les caresser, mĂȘme les mettre dans ma bouche. Un jour, jây suis retournĂ©, un homme lĂ©gĂšrement potelĂ© et costaud dâenviron 50 ans me regardait constamment de lâautre cĂŽtĂ© de la rue. Je pense quâil ouvrait dĂ©libĂ©rĂ©ment ses jambes et me montrait sa bite sous le pagne. Jâai toujours eu un Ćil sur ta bite aussi. Je voulais vraiment cet homme, et jâavais peur et honte.
Je me suis vite levĂ© et je suis allĂ© dans la piscine. Il est Ă©galement entrĂ© et est venu vers moi et mâa saluĂ©. On a parlĂ© un peu ici et lĂ . Lâhomme a dit: âIl fait si chaud, je monte aux douches!âdit-il. âDâaccord!Jâai dit. Il est sorti de la piscine, et quelques minutes plus tard, moi. Il Ă©tait sous la douche, comme je mây attendais. Je me suis assis en face de lui. Il savait aussi que mon avenir, il Ă©tait assis par terre. Offff, il Ă©tait petit mais assez Ă©pais, avait une grosse tĂȘte, une bite veineuse. Il jouait savonnĂ©. AprĂšs avoir jouĂ© pendant un moment, je ne pouvais pas manquer mes yeux quand il a lĂ©gĂšrement ouvert le pagne. Lâhomme sourit trĂšs affectueusement et dit: âViens!âdit-il. âPas question!âjâai dit, dâoĂč jâĂ©tais assis, je lâai regardĂ© jouer avec sa biteâŠ
Il est sorti un peu plus tard, âLaisse-moi tâaider Ă te laver, allons Ă la cabane, et tu mâaides!âdit-il. Je ne pouvais pas dire non, nous sommes descendus ensemble et sommes entrĂ©s dans la cabine. Il nây avait pas de porte lĂ non plus, et quand il a refait un rideau de pagne, sa grosse bite a Ă©tĂ© exposĂ©e. JâĂ©tais assis par terre, il Ă©tait assis Ă cĂŽtĂ© de moi. Il a posĂ© sa main sur mon Ă©paule par derriĂšre, mâa attirĂ© vers lui et a essayĂ© de mâembrasser. âOh, allez, mon oncle!Jâai dit. Il mâa dit Ă lâoreille: âTu ne lâas jamais achetĂ©?âdit-il. âNon, je ne lâai pas fait!Jâai dit. âNâaie pas peur, tu es venu directement chez ton homme, je vais te gĂąter sans trop te faire de mal, mais si tu mâĂ©coutes!âdit-il. âJe ne veux pas, mon oncle!âJâai dit, mais il a commencĂ© Ă mâembrasser et Ă me lĂ©cher la joue. Dick est devenu en Ă©rection. Quand il mâa pris la main et mâa donnĂ© sa bite, qui brĂ»lait comme du feu, câĂ©tait comme si le feu se propageait dans tout mon corps. Je voulais lĂącher prise, mais ma main ne quitterait pas ta bite dâune maniĂšre ou dâune autreâŠ
Il ne tenait pas dans ma paume, il Ă©tait si Ă©pais, si veinĂ©, surtout vers le bas, il devenait plus Ă©pais. Il tourna un peu plus ma tĂȘte vers lui et sâaccrocha Ă mes lĂšvres. Maintenant, mon Ă©lĂ©phant est cassĂ© aussi. Il lâa sucĂ© pendant longtemps et lâa lĂ©chĂ©. Jâai dĂ©jĂ commencĂ© Ă jouer avec sa bite. Mais comment allait-il entrer, jâavais peur de me faire piquer. Lâhomme a quittĂ© mes lĂšvres, mâa caressĂ© tendrement le visage avec sa main vide et a dit: âDâune maniĂšre ou dâune autre, tu es entrĂ© dans cette voie, si tu vas encaisser, câest lâendroit le plus appropriĂ©, ton trou est bien tapotĂ©, desserrĂ©, je vais faire un shampoing un peu, je vais te percer sans causer beaucoup de douleur!âdit-il. âOncle, jâai tellement peur!Jâai dit. Il a pris sa bite dans sa main et lâa secouĂ©e et a dit: âTu as raison, mais un jour tu te feras baiser de toute façon, tu ne trouveras personne de plus comprĂ©hensif que moi, tu es prĂȘt, serre un peu les dents, je vais prendre ta jeunesse!âdit-il.
Il sâembrassa un peu plus et dit: âAllez, fais 4 pieds, domal!âdit-il. Jâavais peur, mais mĂȘme si jâavais peur, je le voulais. Lâhomme Ă©tait heureux de me caresser, me caressant jusquâĂ consistance. Je devais le faire. Il a mis beaucoup de shampoing dans mon trou et a beaucoup fait mousser sa bite. Il mâa donnĂ© mon pagne par terre et mâa dit: âMets ça dans ta bouche, mords-le, mĂȘme si ça fait trĂšs mal, ne crie pas, si on se fait prendre, tout le monde dans les bains viendra te baiser, juste pour que tu saches, accroche-toi un peu!âdit-il. Il a mis sa grosse bite contre mon petit trou et a tirĂ© une petite brosse. âOh, bĂ©bĂ©, câest tellement agrĂ©able que ton trou sera beaucoup plus agrĂ©able, ne te contracte pas!âil a dit et a commencĂ© Ă charger. Il nâest pas entrĂ©, il a Ă©tĂ© un peu tirĂ©, lavĂ© un peu plus et chargĂ© Ă nouveau. Je jure que quand la grosse tĂȘte de ta bite est entrĂ©e, câĂ©tait comme sâils coupaient mon trou avec un couteau. Je ne pouvais pas crier de peur non plus. JâĂ©tais sur le point de courir en avant, il sâest bien accrochĂ© et sâest arrĂȘtĂ©. Mes entrailles Ă©taient dĂ©chirĂ©es.
Il sâest penchĂ© sur moi et a dit â â Oh, bĂ©bĂ©! Câest ça, regarde, jâai sa tĂȘte, attends, bĂ©bĂ©, attends encore un peu, regarde tu lâas, maintenant tu lâas percĂ©e, bĂ©bĂ©!âil a dit petit Ă petit, Ă moitiĂ© piquĂ©. âMaintenant, tiens-toi bien!âquand il a ditâ et soudainement chargĂ©, ses Ă©normes couilles ont frappĂ© mes petites couilles. Mon animal de compagnie les avait tous enracinĂ©s. Je pleurais littĂ©ralement Ă cause de la douleur que je souffrais. Lâhomme me tapote le dos et le cul, âTu as tout compris, tu lâas compris bĂ©bĂ©, bravo, bravo Ă ma femme, tu as donnĂ© ta virginitĂ© Ă ton mari, oooohhh bĂ©bĂ©, laisse la douleur sâen aller un peu, je vais te baiser longtemps, bĂ©bĂ©!âil disait et faisait ça lentement dâavant en arriĂšreâŠ
Je le jure, si jâavais su que je souffrirais autant, je ne lâaurais jamais fait. Puis il a commencĂ© Ă pomper. Chaque fois quâil tirait sa bite, câĂ©tait comme sâil sortait mes entrailles, puis les enterrait Ă nouveau. âĂa brĂ»le comme le feu pour mon bĂ©bĂ©, ton trou me brĂ»le la bite, oooofff bĂ©bĂ©, heureusement que je suis venu aux bains publics aujourdâhui, heureusement que tu es venu aussi, je nâai jamais eu un tel plaisir, le tien est le premier cul que jâai cassĂ©, Jâai baisĂ© beaucoup de cul, mais ils Ă©taient tous habituĂ©s au trou!âil a dit et baisĂ© pendant longtemps. âAssez!âplus il disait:â Attends encore un peu!âil nâarrĂȘtait pas de dire: âil baisait des racines aux racines.ââŠ
Finalement, il mâa rempli de son sperme et mâa dit: âTu as de la chance, jâĂ©conomise pour toi depuis longtemps, bĂ©bĂ©!âdit-il. Mais jâai Ă©tĂ© surpris quâun homme de cet Ăąge soit si excitĂ©, il se tenait toujours debout comme un pieu dans ma bite. âComment vas-tu, bĂ©bĂ©, es-tu un peu soulagĂ©?âdit-il. âĂa fait tellement mal, oncle, enlĂšve-le!Jâai dit. Mais il a dit: âAllez, chĂ©rie, je ne suis pas rassasiĂ©, sâil te plaĂźt, baise un autre courrier!âdit-il. âOncle, mon trou brĂ»le, ça fait tellement mal!âEt jâai dit:â Allez, ne casse pas ton mari, Ă©coute, je vais le sortir maintenant, je vais mâallonger par terre, tu vas tâasseoir dessus, on va baiser en personne, bĂ©bĂ©!âdit-il.
Quand il lâa sorti, je jure quâil y avait du sang sur ses couilles et sur le cĂŽtĂ© de la racine de sa bite. Quand il lâa vu, il sâest rendu compte que jâavais peur, âNâaie pas peur, câest bon, le premier qui se fait baiser vient de tout le monde!âdit-il. Quand il Ă©tait allongĂ© sur le sol, il Ă©tait debout comme un pieu de bite qui dĂ©chirait mes entrailles. Il lâa attrapĂ©e par le bas et lui a dit: âAllez, assieds-toi!âdit-il. Mon trou ne se fermera pas, jâavais du sperme qui coulait de moi sur le gars. Je me suis lentement assis sur sa bite. Cette fois, câĂ©tait tellement une baise, embrasser et faire lâamour plus longtemps, que jâĂ©tais Ă©puisĂ©. Quand il a Ă©jaculĂ© sur le second, je suis descendu de lui et me suis Ă peine jetĂ© au sol. Mon trou me faisait mal, ma taille se cassait de douleur de douleur. Je suis restĂ© penchĂ© sur le sol. Il sâallonge aussi sur le cĂŽtĂ© derriĂšre moi et me tapote le cul â â ChĂ©rie, je suis dĂ©solĂ©, mais ça arrive Ă celui qui se fait baiser en premier, crois-moi, jâai Ă©tĂ© aussi lent que possible. Fais tes valises un peu et sortons, quelquâun arrive, depuis combien de temps fermons-nous cet endroit, sâils le dĂ©couvrent, ils vont te foutre en lâair!âdit-il.
Je me suis Ă peine redressĂ©. Il mâa lavĂ© le cul, il y a du sang, tout ce que tu cherches. Jâai Ă peine enroulĂ© le pagne autour de ma taille et jâai dit: âTu sors, puis je sors!Jâai dit. Il est sorti, et quelques minutes plus tard, je lâai fait. Nous sommes allĂ©s au vestiaire ensemble. Je ne pouvais pas mâasseoir, mon trou me faisait mal, je mâasseyais Ă cĂŽtĂ© sâil le fallait. Il a dit un soda et a dit: âĂcoute, je sais que tu ne vas pas bien, mais repose-toi pendant deux jours, si tu vas te faire baiser tout le temps, ne fais pas de pause, ne laisse pas ton sang amer se refermer! DĂ©c. Mon adresse est ici, reviens dans deux jours, on baisera beaucoup plus confortablement Ă la maison, on regardera pĂžrnĂž faire lâamour, on baisera, tu tâouvriras un peu plus, tu ne souffriras pas de la mĂȘme douleur, mais mĂȘme si ça fait encore mal, tu te dĂ©tendras plus aprĂšs quelques fois!âdit-il.
âJe ne sais pas, mon oncle, ça fait tellement mal, je suppose que je ne le referai plus!Jâai dit. Il a dit: âTu le feras, bĂ©bĂ©, une fois que tu auras le sperme en toi, tu ne pourras plus jamais abandonner! Je vais tâhabituer, Ă©coute-moi, reviens dans deux jours, jâattendrai Ă la maison, la maison est mustakil, tu connais cet endroit, non?âdit-il. âOui, je sais!Jâai dit. Le gars sâest habillĂ©, mâa remerciĂ©, mâa embrassĂ© sur la joue et est parti. Alors je me suis reposĂ© et habillĂ©. Mais mes pieds devenaient confus, je pouvais Ă peine marcher, je pouvais Ă peine rentrer Ă la maison. Je ne pouvais pas croire ce qui sâĂ©tait passĂ©, je mâĂ©tais baisĂ© avec un grand homme. Je savais que ma curiositĂ© ne partirait pas sans se faire baiser, mais je ne lâimaginais pas comme ça, câĂ©tait trop Ă©pais et la douleur que jâai subie Ă©tait grande. Jâai pris un analgĂ©sique et je suis allĂ© me coucher. Je rĂ©flĂ©chissais Ă lâopportunitĂ© dâaller chez le gars ou non. Dâune certaine maniĂšre, ce quâil a dit avait du sens, il pouvait rĂ©trĂ©cir et rĂ©trĂ©cir encore si je ne me faisais pas baiser, mais je ne pouvais pas me permettre de me faire baiser non plus, jâĂ©tais en dĂ©sordre. Jâai dormi. Quand je me levais pour faire pipi la nuit, mon trou me faisait encore mal.
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