Salut, je suis Eda. Je ne suis normalement pas une personne qui Ă©crit beaucoup dâhistoires de sexe, et encore moins qui les lit. Surtout lâhistoire de baise dâinceste, câest la derniĂšre chose Ă laquelle je penserai. Mais on ne sait vraiment pas ce que la vie vous apportera. Parfois, il arrive un moment oĂč vous faites ce que vous nâavez jamais dit que vous feriez.
Mon frĂšre et moi avons 6 ans entre nous, et câest pourquoi nous nâavons pas Ă©tĂ© un grand frĂšre et une grande sĆur qui sâentendent trĂšs dĂ©cemment. Mon frĂšre a toujours Ă©tĂ© une personne entĂȘtĂ©e, punk, qui nâĂ©coute pas. De plus, comme il boxait depuis longtemps, tout le monde avait peur de lui. Et jâai toujours Ă©tĂ© une fille docile et exemplaire. Mon frĂšre est allĂ© Ă lâarmĂ©e quand jâĂ©tais encore au lycĂ©e. Pendant son service militaire dans lâEst, nous avions trĂšs peu de communication. Nous nâavions pas le luxe de pouvoir lâappeler de toute façon, et il appelait trĂšs rarement. Je ne sais pas si câest Ă cause des opportunitĂ©s limitĂ©es maintenant ou parce quâil ne se soucie pas beaucoup de nous. Quand mon frĂšre Ă©tait dans lâarmĂ©e, nous vivions constamment dâĂ©pines, mais dâune part, il y avait du rĂ©confort dans le fait quâil nâĂ©tait pas Ă la maison. Personne ne sait ce que je porte, Ă quelle heure je suis rentrĂ©, etc. il nâinterfĂ©rait pas. Je suis assez habituĂ© Ă cette situation.
Maman et papa ont quittĂ© la maison un jour Ă midi pour aller Ă la fĂȘte au hennĂ© dâun parent qui est un cousin Ă©loignĂ© de moi. Ils allaient revenir le lendemain soir parce quâils allaient aussi assister au mariage. Avec le confort dâĂȘtre seul Ă la maison, jâai mis mon short et ouvert un film sur lâordinateur et jâai commencĂ© Ă regarder. AprĂšs 30 Ă 40 minutes, on a frappĂ© Ă la porte, et quand je suis allĂ© ouvrir la porte, jâai eu un choc Ă petite Ă©chelle. Mon frĂšre se tenait devant moi. AprĂšs une premiĂšre stupĂ©faction, je lâai serrĂ© dans mes bras, jâai ramassĂ© son sac, mais en mĂȘme temps je me demandais pourquoi il revenait une semaine plus tĂŽt. Mon frĂšre est entrĂ©, il mâa manquĂ© mĂȘme, Ă©videmment, ses yeux brillent. il mâa dit Ă quel point jâavais grandi et changĂ© en 1 an. Pendant que mon frĂšre parlait, ses yeux se tournaient parfois vers mes jambes ou ma fourche thoracique.DĂ©c. Normalement, il aurait dĂ©jĂ dĂ» commencer Ă crier et Ă crier, mais il ne lâa pas fait. Je suis allĂ© dans la cuisine pour prĂ©parer quelque chose Ă manger, et il est allĂ© sous la douche.
AprĂšs lâavoir posĂ© pour le petit dĂ©jeuner, je suis allĂ© dans la chambre de mon frĂšre et jâai sorti un drap, un oreiller face Ă brochet au cas oĂč il voudrait dormir. Pendant ce temps, il est venu dans sa chambre avec la serviette enroulĂ©e autour de sa taille dĂ©cembre. Quand il entra dans sa chambre, un de ses yeux se remplit. Il a longtemps regardĂ© ses affiches, la flĂ©chette au mur, la guitare dont il nâavait jamais pu jouer, comme sâil Ă©tait un Ă©tranger. Il a essayĂ© de prendre une flĂ©chette et de la lancer contre le mur.
Puis il prit un cahier Ă la main. Jâai jetĂ© un coup dâĆil au cahier quâil avait achetĂ©, un cahier de style journal intime que mon ami mâavait offert en cadeau et qui contenait des poĂšmes dâamour. Jâai dit âIl est Ă moi â et jâai essayĂ© de le prendre, il a ratĂ© sa main. âFrĂšre, donne-moi mon cahierâ, se hĂ©rissa-t-il lorsquâil insista. Il tenait le cahier derriĂšre lui, allait et venait, et je passais constamment par-dessus lui pour le rĂ©cupĂ©rer. Nous sommes tombĂ©s dans le lit, jâessaie toujours de prendre le cahier dans sa main. Puis nous nous sommes arrĂȘtĂ©s un instant. Parce que nous Ă©tions dans une position Ă©trange. Je suis sur lui dans le lit de mon frĂšre et il nâa pas de serviette. De plus, il y a une viande chaude entre mes jambes qui me touche dĂ©cemment. Et en plus, ce morceau de viande se tient Ă un tel endroit quâil irait Ă lâintĂ©rieur de moi sâil nây avait pas le short.
AprĂšs une courte pause, je nâai pas gĂąchĂ© la situation et jâai fait semblant dâessayer dâobtenir le cahier. Mon frĂšre a Ă©galement suivi ce jeu, Ă la fois en donnant et en poussant mon short avec sa bite pendant quâil poussait. âJe vais le donner Ă une conditionâ, a-t-il dĂ©clarĂ©. Il a mis sa main entre mes jambes et a glissĂ© mes sous-vĂȘtements sur le cĂŽtĂ© avec mon short. DĂ©c. Ă ce moment-lĂ , ce morceau de viande chaud a juste touchĂ© les lĂšvres de ma chatte. âQuelle est votre condition?âJâai dit, mĂȘme si je comprenais. Mais il ne rĂ©pondit rien. Il se faufilait lentement en moi. Nous Ă©tions toujours dĂ©terminĂ©s Ă continuer le match. Comme sâil essayait de se dĂ©barrasser de moi, il soulevait sa taille en lâair et essayait de la placer davantage Ă lâintĂ©rieur de moi. Mais soudain, il mâa attrapĂ© par la taille et a tout mis en moi Ă la fois. LĂ , jâai fait un bruit entre un cri de âiihhhhhâ et un gĂ©missement. DĂ©c. Tout avait cessĂ© dâĂȘtre un jeu maintenant. Mon frĂšre a vu une petite goutte de sang se dĂ©composer entre mes jambes. Je pouvais dire Ă lâexpression sur son visage quâil avait peur, mais il ne sâarrĂȘtait toujours pas. Au dĂ©but, ça a lentement commencĂ© Ă entrer et sortir de moi. Jâen suis arrivĂ© au point de pleurer maintenant. Il a pris mes mains dans ses paumes et les a jointes au-dessus de sa tĂȘte. Quelquâun qui regarderait de lâextĂ©rieur penserait que je le baisais. Je me mordais les lĂšvres pour Ă©viter de faire un bruit, tout en serrant ses mains. Alors quâelle continuait dâentrer et de sortir, il a dit: âpense Ă autre chose, concentre-toi sur mes lĂšvresâ et a plantĂ© un petit baiser. Alors jâai mis mes lĂšvres sur ses lĂšvres, mais au lieu de lâembrasser, jâai juste appuyĂ© fort. Parce que pour la premiĂšre fois jâavais mal, et je ne voulais pas que cette douleur cesse. Mon frĂšre sera fatiguĂ© de cette situation, alors il mâa attrapĂ© par la taille et mâa Ă©mu. Maintenant, jâĂ©tais en bas et lui Ă©tait en haut. Mais cette fois, le rythme dâentrĂ©e et de sortie avait augmentĂ©. Alors que je pensais Ă ce qui pourrait ĂȘtre pire que dâavoir des relations sexuelles avec mon frĂšre, Ă ce moment-lĂ , le pire est arrivĂ© et mon frĂšre est entrĂ© en moi en tremblant. Je mâen suis rendu compte trop tard quand jâai senti quâun liquide se vidait en moi, et de plus, un liquide chaud se vidait. Mon frĂšre sâest tranquillement levĂ© de moi et sâest allongĂ© Ă cĂŽtĂ© de moi. Je me suis immĂ©diatement levĂ© et je suis allĂ© aux toilettes, je me suis nettoyĂ© et jâai commencĂ© Ă pleurer. Je me suis assise et jâai criĂ© Ă haute voix, comme sâil mâavait violĂ©e de force et que je ne voulais pas.
Mon frĂšre est venu aux toilettes, a essayĂ© dâouvrir la porte en premier, câĂ©tait une messe. Puis il essaya de parler de derriĂšre la porte. Il sâest excusĂ©, il a dit quâil Ă©tait venu dans son espace, il a dit quâil ne voulait pas me blesser⊠Jâai ouvert la porte, il sâest serrĂ© dans ses bras, il sâest excusĂ© Ă nouveau. Quand je me suis un peu calmĂ©, nous sommes allĂ©s Ă la cuisine ensemble. Nous nous sommes tous les deux assis et avons mangĂ© pendant un moment comme si de rien nâĂ©tait, il a fait une blague, jâai ri. Jâallais appeler mes parents et leur faire savoir, mais mon frĂšre a dit: âlaissez-les venir demain, ne gĂąchons pas la surprise.âEt la phrase quâil a prononcĂ©e par la suite mâa donnĂ© froid dans le dos; âet on passera la nuit ensemble â A partir de cette phrase, jâai compris que la relation sexuelle entre nous ne resterait pas ponctuelle. DĂ©c.
Le soir, alors que jâĂ©tais allongĂ© devant la tĂ©lĂ© en train de regarder quelque chose, Pat est venu et sâest allongĂ© Ă cĂŽtĂ© de moi. Ă ce moment-lĂ , jâai rĂ©alisĂ© que tu le voulais encore une fois. Il a dâabord pris sa main sous mon T-shirt sur mes seins. Puis il lâa doucement glissĂ© dans mon short. Il a dâabord caressĂ© un peu mon vagin, puis il a atteint mon trou du cul et lâa caressĂ© lĂ . Je ne voulais pas cette fois. Autant de regrets mâont suffi pour une journĂ©e. Jâai dit: âFrĂšre, ne le fais pas.ââJe te promets que je ne ferai rien que tu ne veuilles pas,â dit-il, et tira mon short jusquâaux chevilles avec mes sous-vĂȘtements. Il a commencĂ© Ă embrasser mes jambes dâabord, puis les cĂŽtĂ©s de mon vagin. Je lui ai libĂ©rĂ© ma jambe en disant âJe ne veux pasâ, je me suis retournĂ©. Mais il a pliĂ© lâoreiller en deux et lâa mis juste sous mon ventre. Mon cul Ă©tait complĂštement exposĂ©. Jâai rĂ©alisĂ© quâil nây avait pas de salut Ă cela. Sans aucune rĂ©action, jâai dĂ©cidĂ© de mâallonger comme mort et dâattendre quâil termine son travail. Mais quand mon frĂšre entrait et sortait de moi, câĂ©tait peu probable, jâai poussĂ© de petits cris, ihhs. Mon frĂšre passait son doigt autour de mon cul dâune part. Il a pris lâhumiditĂ© de mon propre vagin et lâa frottĂ© dans mon trou du cul. Puis il y insĂ©ra lentement le bout dâun doigt et le retira. Puis il a fait de mĂȘme avec son pouce. Puis il a sorti sa bite et lâa mise sur mon cul. âFrĂšre!â Je nâai pas essayĂ© de me retourner. Jâai essayĂ© de rater mon cul, mais cela ne sâest pas produit non plus. Avec les deux mains, il a ouvert les joues de mon cul dâun cĂŽtĂ© Ă lâautre et a commencĂ© Ă pousser sa tĂȘte. CâĂ©tait un peu difficile, il a essayĂ©, mais Ă la fin ça a piquĂ©. Et cette douleur Ă©tait une grande douleur, plusieurs fois plus grande que la premiĂšre. Je ne me suis mĂȘme pas rendu compte que je criais, quand mon frĂšre a fermĂ© la bouche, jâai rĂ©alisĂ© que je criais. AprĂšs que mon frĂšre ait terminĂ© son travail, il sâest allongĂ© Ă cĂŽtĂ© de moi.
Depuis ce jour, une relation intĂ©ressante sâest dĂ©veloppĂ©e entre mon frĂšre et moi. DĂ©c. Et je nâai toujours Ă©tĂ© avec personne dâautre que mon frĂšre.